Les attentes de français en matière de logement
Une satisfaction générale de son logement (90 %) de la part des revenus de plus de 2 300 €/mois, les retraités de plus de 65 ans et les propriétaires.
Le choix du logement varie en fonction de sa localisation et de son prix. Pour les plus de 65 ans et les gros revenus, la localisation est un critère de priorité. Le critère prix est plus important pour les plus bas revenus et pour les moins de 35 ans. Deux autres critères s’avèrent secondaires, il s’agit du montant des impôts locaux et de la consommation énergétique du logement choisi.
L’accès à la propriété n’est pas le même suivant les régions. 9 parisiens sur 10 pensent qu’il est difficile de devenir propriétaire dans leur ville alors qu’en province une moyenne de 30 % d’habitants estime pouvoir accéder à la propriété dans leur commune.
Mais les revenus modestes et les catégories populaires jugent l’accès à la propriété difficile.
L’action des communes en matière de logement est jugée par ses habitants. Si 42 % des résidents parisiens sont insatisfaits sur la politique de leur commune en termes de logement, 65 % des provinciaux sont plus positifs.
Les attentes des gentilés concernent surtout la réduction des impôts locaux, la réduction de la consommation énergétique, le fait de facilitér l’accès à la propriété, la construction de logement, etc.
Constat du marché en 2013
Les chiffres des primo-accédants 2013 : 143 139 € d’emprunt, pour une durée de 21,4 ans. Le montant des acquisitions est de 136 641 € avec un apport de 22 420 €. Les acquisitions concernent 67 % des couples contre 33 % de personnes seules avec un revenu net mensuel de 2 055 € et une moyenne d’âge de 32 ans.
L’augmentation du nombre de familles accompagnées, par rapport à 2012, est de 2,6 %.
Il faut bien noter que le taux d’intérêts reste historiquement bas. De 5,07 % entre 2008 et 2009, ce taux est arrivé à 3,19 % pour 2013. Les consommateurs en ont profité pour renégocier leurs crédits. Les banques n’ont plus besoin d’attirer les nouveaux clients et à défaut de négocier son crédit il est possible de renégocier l’assurance emprunteur.
Le faible taux d’intérêt a pour effet d’augmenter la demande d’acquisition d’un logement et par conséquent une hausse des produits sur le marché de l’immobilier (+ 7,6 % tout acheteur confondu). Par contre les prix ont baissé en ce qui concerne l’investissement locatif (- 1,5 %). C’est la demande d’achat d’une résidence principale qui reste une valeur phare sur le marché immobilier.
Les consommateurs se tournent de plus en plus vers un achat dans l’ancien avec travaux. Entre 2012 et 2013 la baisse des acquisitions de logements neufs a chuté de 3,5 %.
A propos de la franchise Immoprêt
Ulrich Maurel a crée le réseau Immoprêt en 2006. L’enseigne veut accompagner les particuliers lors de leur projet d’acquisition d’un logement, les aider à négocier de bonnes conditions de prêts bancaires et rendre à tous l’accessibilité à un projet immobilier.
Les points forts de la franchise Immoprêt sont ses services gratuits, sa proximité grâce à un maillage local et son savoir-faire sur le métier de prêt immobilier. Les franchisés du groupe bénéficient d’une formation de 150 heures et d’un accompagnement personnalisé
En 2013, le franchiseur comptait 60 agences implantées sur le sol français avec 150 collaborateurs pour accompagner 18 862 familles. L’objectif du réseau est de recruter une centaine de collaborateurs au cours de l’année 2014 (300 d’ici 2017). Il y a eu 24 nouvelles agences ouvertes en 2013 et une vingtaine supplémentaire est envisagée pour 2014.
D’après un communiqué de presse de l’enseigne