« …Le système de la franchise me semblait donc être la meilleure solution pour débuter. Je n’avais pas de secteur en tête au départ, j’ai fait le tour des Salons pendant 2 ans et c’est par un ami que j’ai rencontré les responsables de Belisol.
Les personnes que j’ai rencontrées avaient une grande expérience des affaires et un objectif : la réussite de leurs partenaires. Ils étaient vraiment rassurants. Je viens d’une filière para-scientifique, ce qui ne me destinait pas au marché des portes et fenêtres, pourtant j’ai eu vite confiance en mes possibilités dans ce réseau. D’ailleurs les franchisés de Belisol sont rarement des menuisiers mais plutôt des universitaires.
Avec le recul, je sais que j’ai eu raison, les responsables de l’enseigne sont des gens honnêtes et connaissant leur métier. »
ac-f : Quelle est la principale difficulté que vous avez rencontré pour faire vivre votre magasin ?
Les mêmes que n’importe quelle entreprise naissante. Déjà il y a l’investissement de départ qui fait peur, puis il faut trouver un local, un bon emplacement, on se demande si les clients vont venir pousser la porte, si on est capable de vendre, si nos objectifs sont réalisables,
En plus je n’avais jamais créé d’entreprise et il y avait donc la peur de l’inconnu.
Heureusement pour moi, j’ai parfaitement été soutenu par Belisol dans les moments difficiles. Il y a un esprit de famille, dès qu’il y a un problème on peut appeler et on a des personnes qui ont envie de vous aider.
C’est aussi çà l’avantage de la franchise, je pense que créer son entreprise seul doit être dix fois plus stressant.
ac-f : Quels est le principal atout de Belisol sur son marché ?
C’est la seule société en Belgique à avoir une telle structure sur ce marché. Il y a encore beaucoup de menuiseries artisanales qui sont très techniques mais pas du tout commerciales. Avec Belisol il y a la qualité, le standing, les produits haut de gamme et la clientèle qui va avec.
ac-f : Comment pensez-vous être perçu par vos clients ?
Avec Belisol on bénéficie d’une très bonne image de marque, en Belgique les gens connaissent et associent l’enseigne à la qualité et au professionnalisme.
Certes, en France, l’enseigne n’est pas encore connue, mais quand j’ai ouvert à Namur, Belisol n’était pas encore développé en Wallonie. J’étais dans la même situation qu’un français qui ouvrirait aujourd’hui, et maintenant tout le monde nous connaît. La centrale s’occupe de la publicité locale et n’hésite pas à investir beaucoup d’argent notamment dans des show-room bien placés.
ac-f : Quelle est la place de la vente dans votre fonctionnement ?
Le vendeur a une place indispensable, la qualité de nos commerciaux est un des secrets de notre réussite. Le recrutement de ces derniers est essentiel, on est aidé en cela par Belisol qui connaît les profils dont nous avons besoin.
Cela peut paraître paradoxal mais il est souvent plus difficile de trouver de bons commerciaux que de bons ouvriers.
ac-f : Quel est le principal conseil que vous donneriez à quelqu’un qui veut entrer dans le réseau Belisol ?
Au départ, il faut savoir prendre des risques et ne pas hésiter à donner beaucoup de son temps et de son énergie pour réussir.
Ensuite, se serait de faire confiance et de suivre les conseils de la centrale.
Aujourd’hui, avec le recul, je me dis que même si je me suis fais peur au début c’est un défi que je ne regrette pas d’avoir relevé. Cette franchise permet aux gens motivés qui n’ont pas d’expérience mais la volonté et le caractère de l’entrepreneur de réussir.