J’ai ouvert ma 3ème franchise Cartridge World par Ludovic Detammaker

AC Franchise : Vous venez d’ouvrir votre troisième magasin en trois ans, comment avez-vous choisi cette enseigne ?
Ludovic Detammaker : Au départ je suis ingénieur robotique et je voulais créer ma société, je suis fils d’artisan, mon frère est chef d’entreprise, à la sortie des études je savais que je créerai moi aussi. J’ai d’abord travaillé en tant que salarié puis j’ai cherché une activité qui me plaise, moderne, nouvelle. J’ai trouvé Cartridge World sur le site d’ac-franchise. J’ai récontré le Master Franchisé, David Parkinson et il m’a convaincu. C’était en 2003, le réseau démarrait mais il a mis très rapidement tous les moyens nécessaires. J’ai d’abord créé un point de vente à Lille, en emplacement n° 1 bis, puis à Dunkerque et maintenant à Villeneuve d’Ascq (59).

ACF : Qu’est-ce qui vous a particulièrement intéressé dans ce réseau ?
LD : Le concept qui tient bien la route, je suis allé voir les boutiques en Grande-Bretagne, cela m’a plu. Très vite le réseau s’est adapté au territoire français : traduction des emballages et des PLV par exemple. L’ambiance est jeune dynamique. Des commissions viennent d’être créées : je suis dans la commission Marketing, nous décidons ensemble les publicités, chacun verse 3% de son chiffre uniquement pour la publicité. La commission est composée de 5 personnes : une par région. Nous sommes maintenant 55 unités pour toute la France. Le réseau apporte un soutien technique permanent et des nouveautés produits : nous avons plus de trois cents encres différentes, nous offrons aussi de nouvelles cartouches.

ACF : Quels sont les efforts à fournir de votre part ? Rencontrez-vous des difficultés ?
LD : Le réseau n’est pas contraignant, il y a seulement une charte graphique et le respect de la qualité de service. La formation technique dure 4 semaines, l’important est d’aimer le métier. D’ailleurs le plus difficile est de s’entourer d’une bonne équipe. Actuellement j’ai des personnes fiables mais je recherche encore un commercial et un vendeur en magasin.

ACF : A ce jour comment analysez-vous votre situation ?
LD : J’ai trois points de vente, le premier à Lille a permis d’importer le concept Cartridge World en France, celui de Dunkerque aujourd’hui marche encore mieux. Je viens d’ouvrir un magasin à Villeneuve d’Ascq et je compte en ouvrir encore deux dans les deux ans. Je suis très positif, le concept est nouveau, les perspectives de développement sont très grandes, chacun va bientôt avoir son ordinateur personnel. C’est un bon marché.

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