Le concept Mademoiselle Vrac est né de la volonté commune de deux sœurs d’agir pour l’environnement et de prôner la consommation responsable. En effet, animées par l’envie de consommer juste & bien, Claire & Noémie ont décidé de créer un concept qui permet de réduire les emballages inutiles dans la consommation quotidienne. Mademoiselle Vrac voit le jour en 2017 à Royan (Charente-Maritime) ! Fort du succès rencontré sur ses autres points de vente, le réseau Mademoiselle Vrac ouvre aujourd’hui sa septième boutique au Val-Saint-Père.
Après l’ouverture de son magasin de Mayenne le 3 décembre et avant celle de Angers (Maine-et-Loire) début 2020, le septième magasin Mademoiselle Vrac ouvre ses portes aujourd’hui dans le parc de la Baie au Val-Saint-Père.
Une franchise zéro déchet
Les français, conscients de l’impact environnemental de leurs modes de vie et pratiques quotidiennes, sont de plus en plus nombreux à s’orienter vers des modes de consommation plus durables. Le concept Mademoiselle Vrac s’inscrit dans la droite lignée de cette tendance. L’enseigne propose près de 450 références de produits en vrac dont plusieurs biologiques : riz, pâtes, huiles, thé, café et bien d’autres. Les clients peuvent venir directement avec leurs sacs réutilisables ou leurs bocaux pour les remplir ou les acheter sur place.
Ancienne chargée de communication dans un cabinet d’assurances, Claire Toutain, et sa sœur Noémie, ancienne employée du secteur bancaire, veulent à travers ce concept sensibiliser un maximum de gens sur le fait que l’achat en vrac est une manière d’apprendre à mieux consommer.
L’accompagnement Mademoiselle Vrac
Les franchisés Mademoiselle Vrac bénéficient d’un concept clé en mains et d’un accompagnement au quotidien. Les responsables de chaque boutique sont des commerçants indépendants issus de tous horizons. Néanmoins, ils partagent tous les valeurs et la vision de la franchise Mademoiselle Vrac.
« Ce sont tous des personnes qui ont mené une reconversion professionnelle. Nous recevons tous les jours des candidatures spontanées afin d’ouvrir d’autres boutiques et étendre ainsi le réseau à d’autres régions de France, dans des villes avec un minimum de 30 000 habitants, agglomération comprise, comme à Rennes (Ille-et-Vilaine) ou à Nantes (Loire-Atlantique) que nous visons en priorité. », explique Noémie.