A cette difficulté s’ajoutent la diminution de la qualité de vie des acheteurs et des vendeurs (25 %) et celle du service rendu par l’enseigne (20 %).
Alors que certains préfets soumettent des agrandissements de zones touristiques sans avoir reçu une demande du maire de la commune concernée, plus de 80 % des adhérents de la Fédération rappellent que cette mesure ne doit pas être étendue à l’ensemble du territoire national.
Selon les têtes de réseaux, la majorité des points de vente n’utilisent pas la possibilité proposée d’ouvrir cinq dimanches par an, pour des raisons principalement économiques (80 %), les achats étant considérés pour 70 % des répondants comme se substituant aux achats de la semaine. Les cinq dimanches autorisés par le maire restent ainsi, pour la majorité, largement suffisants sauf pour les alimentaires et les enseignes textiles : elles souhaiteraient voir augmenter le nombre d’ouvertures à 8 ou 10 pour ces types de magasins.
Soutenue par plus de 60 % de ses adhérents, la FCA réitère ainsi sa proposition d’instaurer un système de déclaration individuelle du commerçant qui permettrait de réduire les cas de concurrence déloyale entre communes adjacentes.
* Enquête de la FCA auprès d’un panel représentatif de 20 groupements adhérents (sur 74) représentant plus de 7 600 points de vente.
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