On pense savoir beaucoup de choses sur la franchise, mais souvent ce sont de fausses idées qui peuvent fermer la porte à une opportunité de carrière.
Voici les principales fausses idées sur la franchise et surtout la vérité à leur sujet selon Norauto.
Communiqué de Norauto
Voici les principales fausses idées sur la franchise et surtout la vérité à leur sujet selon Norauto.
Communiqué de Norauto
Idée reçue n°1 : “On n’a aucune liberté avec la franchise »
Beaucoup de gens pensent que la franchise pourrait les priver de leur liberté dans la gestion quotidienne de leur activité.
Il faut bien distinguer le métier de franchisé et le métier de directeur d’enseigne salarié ! Le franchisé gère de manière autonome son activité en exploitant une marque en contrepartie de droits d’entrée et de royalties. C’est la seule différence avec un chef d’entreprise classique. Le directeur d’enseigne salarié est rémunéré par une entreprise. Sa marge de manœuvre est plus limitée car il doit rendre des comptes à sa direction.
La conception de liberté peut varier d’une franchise à l’autre. Les franchisés du réseau seront alors les mieux placés pour vous parler de leur liberté d’entrepreneur.
Norauto propose à ses franchisés ses règles du succès, nées son expérience de plusieurs années et de la maîtrise de son secteur d’activité. Une garantie de réussite plus qu’une contrainte ! Les franchisés profitent de la notoriété et des politiques commerciales de Norauto à l’échelle nationale, tout en gérant quotidiennement leur centre auto en toute autonomie.
Idée reçue n°2 : “Pour réussir, il faut être spécialiste du secteur d’activité”
Bon nombre d’entrepreneurs pensent à tort qu’il est préférable d’ouvrir une franchise dans un secteur d’activité qu’ils connaissent même très peu.
Bien sûr, les règles de sélection varient selon les franchiseurs. Mais souvent, la connaissance du secteur d’activité n’est pas une condition sinéquanone. Les franchiseurs recherchent avant tout des profils de manager et/ou de gestionnaire. Il est bien évident qu’une affinité avec le secteur de prédilection est préférable !
Norauto n’exige pas de connaissances techniques en automobile. L’enseigne recherche essentiellement des profils aux compétences managériales et gestionnaires, avec expérience à l’appui. Mais aucun diplôme n’est exigé !
Idée reçue n°3 : “La franchise n’est pas une propriété”
Le franchisé investit de l’argent pour acheter (ou louer) son lieu de vente, pour se constituer un stock de produits, pour mettre sur pied une campagne de communication à l’ouverture…
Alors la seule différence entre un indépendant classique est que le franchisé bénéficie du soutien de la marque, que ce soit en termes de notoriété ou d’outils de gestion pour son activité au quotidien. Un gain non négligeable.
Ainsi, un franchisé Norauto peut compter sur une communication au niveau national, des outils de gestion performants, d’un service de R&D (Recherche et Développement)…
Pour exploiter son commerce sous enseigne, le franchisé paye des droits d’entrée et verse des royalties.
En tant que chef d’entreprise, il développe son patrimoine et pourra le transmettre quand il le souhaitera.
Idée reçue n°4 : “Les franchisés sont livrés à eux-mêmes et paient pour utiliser la marque”
Dans la franchise, 2 préjugés ont la vie dure. On entend souvent : “Le contrat de franchise limite ma liberté, et en plus je dois payer le prix fort en redevances.”
Il faut vérifier que franchiseur ne se limite pas à l’utilisation de la notoriété de sa marque. Les franchiseurs sont nombreux à proposer des prestations d’accompagnement !
Norauto accompagne ses franchisés au démarrage de leur projet, aidés de son réseau de professionnels.
Les futurs franchisés suivent aussi une formation théorique de plusieurs jours puis une formation sur le terrain. Et une fois le centre auto ouvert, un directeur de secteur visite les franchisés pour veiller à la réussite de leur commerce franchisé !
Maintenant que vous détenez la vérité sur la franchise, allez-vous faire le premier pas ?