Jérôme Sarzi est franchisé du réseau Guy Hoquet l’Immobilier à Toulouse (31). Selon lui, il faut d’abord conforter son activité et prendre son temps pour se développer.
« J’ai troujours travaillé dans l’immobilier, d’abord en alternance pendant mes études chez Century 21, puis comme salarié chez Guy Hoquet. Pendant 4 ans, de 2006 à 2010, j’ai appris les ficelles du métier, je me suis familiarisé avec les notions commerciales et ai terminé à un poste de responsable des ventes. L’agence toulousaine dans laquelle je travaillais venait d’ouvrir quand je l’ai intégrée, si bien que j’ai pu suivre son évolution au fil des ans, et constaté que j’étais fait pour ce métier.
En 2010, j’ai fait part à la tête du réseau Guy Hoquet de mon envie de devenir franchisé et d’ouvrir une agence dans le centre de Toulouse. Malgré mes 28 ans à l’époque, franchiseur et banquiers ont accepté de me suivre. Mon expérience du secteur et ma motivation les ont convaincus. »
« J’ai ouvert mon agence en septembre 2010 avec ma compagne comme associée. Nous y sommes allés par étapes progressives. Alors que l’effectif moyen d’une agence est de 5 personnes, nous avons préféré commencer doucement, à 3. Les recrutements se sont faits progressivement, au fil du temps et des résultats, et aujourd’hui, nous sommes 5 personnes. Bien que la franchise apporte une caution, il faut rester prudent et ne pas chercher à griller les étapes. Je me donne encore quelques années avant de songer à ouvrir une seconde agence. »
Extrait de Paroles de franchisés – Guide de la franchise 2012