En premier lieu, la recherche d’un professionnel du diagnostic immobilier passe de plus en plus par internet. L’offre pléthorique que le web propose et la facilité à pouvoir y comparer les prix en font un outil majeur pour les futurs vendeurs. Cette nouvelle proximité entre particulier et internet va rapidement entrainer une régulation du marché des diagnostiqueurs et homogénéiser le montant des prestations aujourd’hui encore très disparates selon la région ou le professionnel contacté.
Aujourd’hui déjà, les diagnostics proposés directement par les agences immobilières et leurs diagnostiqueurs affiliés commencent à être mis en concurrence par les marchands de biens. D’autant plus que ces derniers réalisent leurs diagnostics de plus en plus tôt dans leur processus de vente.
Même si les demandes de diagnostics ne faiblissent pas, les vendeurs prennent conscience que trouver un acquéreur est aujourd’hui plus long et que le risque de perdre un acheteur doit être diminué, d’où une anticipation des demandes. »
Par exemple, un nouveau diagnostic entre en vigueur le 1er janvier 2009 afin de garantir un logement décent aux futurs acquéreurs: le contrôle de l’électricité, obligatoire pour toute installation électrique de plus 15 ans. Les diagnostiqueurs qui comme Meilleur-Diagnostic anticipent cette nouvelle norme et proposent d’ores et déjà son diagnostic, font prendre une longueur d’avance à leurs clients dans un marché de l’immobilier de plus en plus tendu.
Car dès les premières visites, les vendeurs savent qu’il est essentiel que leur bien soit irréprochable. Dans cette perspective, la réalisation du dossier des diagnostics techniques (DDT) se fait dès la mise en vente. C’est une valorisation du bien et un argument primordial puisqu’il informe et justifie de l’habitabilité et de la sécurité du bien.
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