La franchise Guy Hoquet L’immobilier a enregistré un bilan 2020 plutôt satisfaisant compte tenu de la situation de crise. En effet, les français continuent d’investir dans la pierre. De plus, ils ont développé une nouvelle tendance : la recherche de l’espace. Selon Stéphane Fritz, président du réseau, la crise du coronavirus a montré l’efficacité du concept Guy Hoquet L’immobilier face au contexte difficile notamment en termes d’adaptabilité, de fonctionnement de la franchise et d’accompagnement quotidien proposé aux clients.
Un marché résiliant
En 2019, le secteur immobilier a enregistré un bilan record dans les transactions à l’échelle nationale. Pourtant, à cause de la crise sanitaire le marché immobilier aurait pu connaître un fort recul avec un exercice 2020. Toutefois, le volume national de vente n’a chuté que de 9% (1 060 000 à 960 000). Le bilan annuel du réseau Guy Hoquet L’immobilier confirme bien ces chiffres. Cette résistance du marché est due au fort intérêt que portent les français à la pierre.
D’après Stéphane Fritz, durant le premier confinement, les professionnels de l’immobilier prévoyaient des baisses importantes de 15 à 30% avec un impact négatif sur le marché. La réalité du terrain était différente : les français ont maintenu leurs projets, et tout a été réfléchi de sorte à bien s’adapter au contexte.
« Lors du premier confinement, certains nous annonçaient des baisses de l’ordre de 15 à 30%, avec des conséquences terribles pour la profession. Notre ressenti de terrain nous a toujours indiqué l’inverse : les Français ont conservé leur projet, et tous les moyens ont été mis en œuvre pour les mener à bien. Nous avons préféré porter le dynamisme face à l’alarmisme. »
L’impact de la crise actuelle sur le marché immobilier
Les restrictions relatives à la pandémie et les confinements successifs, ont suscité l’envie de grand air chez les Français. Ceci s’est traduit sur le secteur de l’immobilier par le recul de la demande d’appartements de 19% par rapport à la demande de maisons. Cette dernière a en effet augmenté de 10% en comparaison avec l’année précédente.
D’après les résultats du réseau Guy Hoquet L’immobilier, les clients recherchent des logements plus spacieux. Les maisons vendues par l’enseigne sont en moyenne 4% plus grandes en termes de superficie, par rapport à l’année dernière. Conséquence de ce besoin d’espace : les français ont moins envie d’habiter dans les grandes villes.