En moyenne, l’enseigne – avec 500 franchisés et 630 agences – signe dix contrats de franchise par mois et compte ouvrir entre 120 et 150 agences en 2008, après 125 en 2007.
Les candidatures, notamment issues de cadres qui souhaitent se mettre à leur compte, ne manquent pas. En effet, l’immobilier à l’inverse d’autres secteurs d’activité, ne nécessite pas un emplacement exceptionnel… la fermeture de petits commerçants de centre-ville représente donc de nouvelles opportunités d’implantation pour le marché.
Une agence Guy Hoquet emploie généralement trois négociateurs et une assistante, elle totalise en moyenne un chiffre d’affaires de 350 000 euros par an avec un investissement global moyen qui s’élève à 100 000 euros dont 50 000 euros d’apport personnel.
Des perspectives à l’étranger ? Hors de l’Hexagone, Guy Hoquet se développe dans des départements d’outre-mer (Réunion, Martinique, Guyane) mais également à Madagascar et au Maroc. Prochaine implantation : la Chine via un contrat de « master franchise » !
Avis aux amateurs !
Vu dans L’Express n° 2958 du 13 au 19 mars 2008