Après une année économiquement instable et extrêmement mouvementée en raison de la crise sanitaire et face aujourd’hui à un probable reconfinement qui arrive à grand pas, le réseau Laforêt fait le bilan et se prépare pour l’avenir.
Face à toutes ces problématiques et interrogations, Yann Jéhanno, président du réseau s’exprime.
Comment est-ce que Laforêt se prépare suite à ce 3ème confinement qui semble se confirmer ?
Le premier confinement a déjà permis à l’enseigne de s’armer pour faire face à la crise. Aujourd’hui avec cette probable nouvelle annonce, les équipes sont donc mieux préparer. Lors d’une réunion du comité de direction, qui s’est tenue le 25 janvier dernier, les sujets du télétravail, de la communication et des réseaux sociaux ont été longuement abordés.
En attendant les nouvelles mesures instaurées par le gouvernement, les agences maintiennent pour le moment leur activité. Néanmoins, le réseau demeure serein et affirme qu’il sera en mesure de s’adapter à la situation.
Quelques mots sur les chiffres de l’année écoulée et sur le développement du réseau Laforêt en 2020 ?
En dépit du contexte, 2020 a été, en terme de dynamique d’activité, la seconde meilleure année de l’histoire du réseau. En effet, l’intérêt des Français pour la pierre a brusquement bondi dès la sortie du 1er confinement. L’expert en immobilier conserve donc sa place de N°1 avec une croissance significative de la demande. Cependant l’offre affiche de son côté une baisse de 11%.
Côté déploiement aussi la chaîne s’en sort avec brillo puisqu’elle a procédé à pas moins de 90 nouvelles signatures de contrats de franchises. Une belle expansion qui est notamment due au lancement du parcours de développement de franchises entièrement digitalisées.
A quelles évolutions de prix les français doivent-ils s’attendre pour 2021 ?
Cette question reste encore en suspend en raison du flou qui plane encore sur l’avenir du pays et de la situation sanitaire. La visibilité est encore incertaine quand de nombreuses interrogations subsistent encore, notamment sur la vaccination des populations, le redémarrage de l’économie ou encore l’évolution du chômage.
Le président du réseau affirme ne pas être en mesure de présenter les tendances prix pour 2021 mais déclare cependant avoir constaté une nette augmentation de la demande sur les banlieues et les villes moyennes.