Le réseau Fischer fête les 2 ans de son magasin de Nancy, en pleine crise sanitaire. Malgré les circonstances exceptionnelles actuelles, le point de vente a réussi à réaliser une croissance de 18 % durant son 2ème exercice.
Témoignage d’un franchisé Fischer heureux !
Le magasin Fischer de Nancy est dirigé par Carlos Anfonso, qui travaillait précédemment comme commercial dans la carrosserie industrielle et la vente d’espaces publicitaires.
Ayant perdu l’envie d’aller travailler le matin, il a décidé, à 35 ans, de devenir commerçant. Il souhaitait exercer un métier où il y a plus de contact humain.
« Quand les gens viennent chez moi acheter leur pain, c’est un moment de plaisir partagé. C’est pour cela qu’ils reviennent », confie Carlos Afonso.
Ce dernier a, par ailleurs, opté pour le système de la franchise « pour ne pas partir de zéro ». Après avoir comparé 8 réseaux, il a sélectionné Fischer pour la sécurité et la qualité des produits.
« Je ne suis pas boulanger mais je n’avais pas envie de vendre du pain surgelé. Grâce à Fischer, je suis livré en pâte fraîche tous les jours et cela fait toute la différence », confie le franchisé.
Son point de vente, situé dans un ancien bâtiment d’un concessionnaire moto reconditionné en boulangerie, pharmacie et cabinet médical, a une superficie de 160 m², avec un salon de thé de 24 places assises et un parking privé de 12 places.
Carlos Afonso est épaulé par une équipe de 4 personnes:
« J’ai une super équipe. Certains clients ne sont pas du quartier, ils font un détour pour s’arrêter chez nous car ils nous aiment bien ».
Un chiffre d’affaires en croissance
Carlos Anfonso est assez satisfait des performances de son magasin de Nancy dont la fréquentation est passée de moins de 200 clients par jour à l’ouverture, à 260 aujourd’hui. Le panier moyen, quant à lui, a augmenté de 8.5 % sur cette même période, s’élevant désormais à 5.5 €.
Pour ce qui est du chiffre d’affaires, il provient d’abord du rayon snacking et boisson (40 % des ventes) suivi de la boulangerie (25 %).
« Nous sommes dans un quartier résidentiel en sortie d’autoroute avec des écoles et des bureaux : la clientèle est mixte, nous avons un peu de tout. Pendant le confinement, on a perdu les étudiants et les salariés en télétravail. Heureusement on a bien travaillé cet été grâce aux habitants qui sont restés sur place au lieu de partir en vacances », explique Carlos Afonso.