Séverine Montagne est aux commandes de sa 1ère boutique Yves Thuriès à Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, depuis 2017. Elle est récemment devenue multi-franchisée en ouvrant un second magasin, cette fois-ci, à La Baule.
Ouverture d’une seconde boutique Yves Thuriès
Détenant désormais 2 boutiques Yves Thuriès, respectivement implantées à Saint-Nazaire et à La Baule, la multi-franchisée Séverine Montagne décrit son enseigne en 3 mots : « Savoir-faire / Autonomie / Accompagnement ».
Yves Thuriès est également « une maison qui laisse une certaine autonomie à ses franchisés tout en leur apportant un accompagnement au quotidien ».
Séverine Montagne a ouvert sa 1ère boutique en 2017 avec l’idée qu’elle soit à son image et celle de la Maison Yves Thuriès : « créative ».
« C’est une boutique élégante, agréable dans laquelle on se sent bien et où mes clients y trouvent du choix, et surtout beaucoup de gourmandise », décrit la multi-franchisée.
Séverine Montagne était présente à la dernière convention du réseau pour pouvoir retrouver les chocolatiers Yves Thuriès et découvrir les nouvelles recettes.
« C’est un moment de partage. L’opportunité d’échanger avec les autres franchisés. C’est un vrai rendez-vous, que je ne manque jamais, basé sur la transmission et le partage ».
Selon la franchisée, la Maison Yves Thuriès se distingue par la récolte de ses fèves de cacao dans la plantation de San Fernando, en Équateur, où elle a pu se rendre à 2 reprises pour découvrir et apprendre sur toutes les techniques de ramassage et de séchage du cacao.
Séverine Montagne aurait décidé d’ouvrir une seconde boutique à La Baule en raison d’une demande récurrente de ses clients sur ce secteur.
« Un bilan très positif pour ma boutique basée à Saint-Nazaire. Je souhaitais une boutique avec un ancrage plus touristique ».
Gérant 2 boutiques Yves Thuriès, la franchisée explique comment faire pour réussir :
« Une grande partie réside sur la gestion du personnel. La capacité à trouver des personnes qualifiées, passionnées, en capacité de transmettre et de partager notre amour du chocolat. Il y a grosse partie organisationnelle et de transmission du savoir », conclut-elle.