AC Franchise : Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre le réseau ?
Thierry Jubert : « J’ai été Directeur chez Bricomarché pendant 4 ans et cette période m’a véritablement donné encore plus envie de devenir chef d’entreprise chez les Mousquetaires. Le jour où j’ai véritablement été en contact avec les adhérents, l’investissement de chacun pour l’intérêt de tous m’a véritablement émerveillé et surpris. C’est quelque chose que nous ne trouvons nulle part ailleurs, et c’est véritablement une valeur importante de pouvoir chercher à apporter ses connaissances pour l’intérêt de tous. »
Nathalie Jubert : « J’ai été faire des stages dans d’autres Bricomarché, chez d’autres adhérents qui ont bien voulu me montrer ce que c’était le métier, et une fois ma décision prise je lui ai dit on fonce. »
ACF : Pourquoi avez-vous décidé de créer votre propre entreprise ?
TJ : « Nous voulions véritablement être chefs d’entreprise et ensemble. »
NJ : « Les jours sont tellement variés, il n’y a rien de monotone dans ce que je fais. J’ai toujours à apprendre, je veux toujours faire du renouveau au niveau des mises en place. En tous les cas, tout me plaît dans ce que je fais. »
ACF : Racontez-nous une journée tpe dans votre magasin
TJ : « C’est un métier très varié. Le matin nous commençons par ranger les rayons, faire le remplissage, et nous devons avoir la casquette d’employé de luxe, et nous finissons par être chef d’entreprise à gérer de la comptabilité, à faire de la gestion ou de la trésorerie. C’est la variété du métier qui fait que c’est enrichissant. »
NJ : « Maintenant il faut savoir que les femmes bricolent, donc nous restons quand même dans un univers féminin et à la décoration, il y a pas mal de choses qui font qu’une femme peut se plaire dans un Bricomarché. »
ACF : Avez-vous d’autres projets ?
TJ : « Nous savions que la mise au concept dès l’ouverture nous apporterait beaucoup, cela s’est conforté par des clients qui avaient l’habitude de voyager sur des Bricomarché ancienne version, qui ont été surpris et très étonnés de la richesse de l’implantation et des gammes de cette nouvelle implantation. Pour nous, l’idéal serait de pouvoir, dans 5 ans, une fois que nous serons associés, reprendre un deuxième point de vente. »
NJ : « Le fait d’avoir deux points de vente ne me fait pas peur, c’est juste une question d’organisation et il n’y aucun souci. »
ACF : Si c’était à refaire, vous changeriez quoi ?
TJ : « Si c’était à refaire, nous recommencerions tout de suite, nous n’hésiterons pas un seul instant. »