Interview vidéo AC Franchise Waffle Factory réalisée en 2009
AC Franchise : M. Amichaud bonjour, vous êtes franchisé au Forum des Halles depuis 13 mois. Pouvez-vous me dire pourquoi vous avez choisi Waffle Factory ?
Thierry Amichaud : « Tout d’abord la recherche d’un concept de franchise, au départ plutôt dans la restauration rapide juste au vu des chiffres c’est plutôt un secteur de type croissant. De là il y a toute la sandwicherie de type classique, pour moi je ne voyais pas un grand intérêt de faire une sandwicherie, à priori je pouvais la faire hors franchise.
Je cherchais quelqu’un qui allait m’apporter quelque chose de nouveau, un produit que je ne saurais pas faire seul et de là Waffle Factory s’est présenté à moi. Au départ j’étais un peu réticent, je ne me sentais pas une âme de forain, pour moi la gaufre c’était cela, puis je suis allé voir.
Au départ j’étais un peu hésitant, je voulais un nouveau concept mais là c’est vraiment très nouveau ! Face au concept, à 12h30, un samedi, je regarde la boutique, à côté il y a un concurrent, sa boutique était vide et la boutique Waffle Factory était pleine. Je me suis dit qu’il fallait m’attarder et voir ce qu’ils font. J’ai discuté avec la personne qui y travaillait et là je me suis dit qu’il fallait aller plus loin ».
ACF : Qu’est ce qui vous a justement séduit dans ce concept ?
TA : « L’idée novatrice une gaufre salée ! Encore aujourd’hui quand un client vient nous voir, il nous demande c’est quoi une gaufre salée, à priori cela ne m’intéresse pas et puis une fois l’explication donnée de ce que nous faisons vraiment, le client dit : » Oui cela doit être bon ».
Depuis des décennies nous mangeons des crêpes salées effectivement la pâte du gaufre c’est sympa comme produit. J’ai gouté c’est évidement hyper bon ! Je me suis dit qu’il fallait vraiment me lancer dans ce projet là ».
ACF : Aujourd’hui, cela fait 13 mois que vous êtes ouvert, comment se passe votre activité au quotidien ?
TA : « Au quotidien et je pense que ce n’est pas lié à Waffle Factory mais au fait d’entreprendre pour la première fois j’ai énormément de travail. Bien sûr on le fait pour soi, on est content, on part de chez soi le matin pour travailler chez soi. Cependant, c’est un gros investissement en termes de temps !
Justement, il n’y a pas de journée type. Le premier mois, je travaillais du matin au soir, je n’arrêtais pas et puis il y a les journées d’aujourd’hui au bout de 13 mois. S’il y a une personne en moins et s’il y a un accident alors là on travaille du matin au soir.
La journée type n’existe plus, cela pourrait être d’arriver le matin, contrôler si la production a été faite dans les normes demandées par le franchiseur et maintenant par moi-même, faire le service de midi au contact des clients, s’assurer que tout le monde est satisfait et que l’organisation se passe bien et puis terminer jusqu’à la fin de la journée. Nous passons notre temps essentiellement à informer les clients, former le personnel, ajuster, etc.».
ACF : Quels soutien et services vous a apporté le franchiseur ?
TA : « Dans un premier temps, il y a eu la formation qui a été faite à Dijon. Une formation pas très longue mais hyper qualitative avec quelqu’un qui prend le temps et qui rapidement vous laisse la main pour faire parce qu’on peut vous expliquer longuement comment faire mais le mieux serait de le faire soi-même. J’ai pu assez rapidement – dans le magasin de Dijon – mettre la main à la pâte. Grâce à cela nous apprenons assez vite.
Ensuite un gros soutien à l’ouverture, en plus au Forum des Halles c’est un gros point de vente. Nous avons ouvert mi-décembre en 2007. Nous avons ouvert le rideau et avons fait une grosse journée heureusement que le franchiseur était là. J’ai eu un important soutien à ce niveau ; il est resté deux semaines c’était un grand avantage pour moi et depuis, nous avons une relation très directe, très facile. Si j’ai une question je n’aurais qu’à l’appeler ».