David Giraudeau est le Directeur Général de la franchise La Mie Câline, qui compte à ce jour plus de 240 points de vente en France. Il a été interviewé par Franchise Magazine dans le cadre du salon de la Franchise en mars dernier.
La Mie Câline se développe depuis 37 ans !
La Mie Câline est un réseau de franchise comptant 240 points de vente, dont 95 % de franchisés. Il est positionné sur le secteur de la boulangerie et de la sandwicherie.
L’enseigne fabrique tous les produits vendus dans ses magasins. Elle veille, d’autre part, à offrir un accompagnement complet et continu aux personnes souhaitant devenir entrepreneurs.
Dans le contexte d’inflation actuel, La Mie Câline a cependant réussi à s’adapter car le réseau gère l’amont avec l’ensemble des fournisseurs ainsi que l’aval en essayant de définir, avec ses franchisés, une politique commerciale adaptée aux consommateurs.
« C’est un réajustement important, un réajustement des différents équilibres pour les acteurs, pour faire en sorte de continuer d’avancer malgré une conjoncture compliquée », explique David Giraudeau.
Réseau existant depuis 37 ans, La Mie Câline a en moyenne, chaque année, environ 25 magasins à revendre. Cette année, l’enseigne vise entre 6 et 8 nouvelles ouvertures. Elle propose à ses franchisés un concept clé en main, notamment en répondant à leurs moindres interrogations.
« C’est le rôle du franchiseur d’apporter des réponses avant même que les questions se posent ».
Soucieux de la satisfaction de ses franchisés, le réseau fait d’ailleurs appel à l’Indicateur de la Franchise depuis une quinzaine d’années pour réaliser des enquêtes et mesurer la satisfaction de ses adhérents.
En ce qui concerne le profil de franchisé recherché, l’enseigne privilégie les personnes ayant un profil d’entrepreneur et du courage, sachant négocier et aimant les gens.
« Dans les magasins, il y a des équipes de 8 à 10 personnes. Il faut donc avoir une qualité managériale pour faire en sorte que les gens vous suivent, ce qui vous permettra de tenir le plus longtemps possible. Mais oui, être entraîneur d’homme », conclut le DG.