L’action est déjà bien engagée (outils de calcul de la consommation énergétique spécifiques, recours à des solutions utilisant des énergies renouvelables, programmes internes de sensibilisation aux économies d’énergie…) mais l’enseigne s’engage à accentuer son action et se concentrer sur les sujets qui touchent à la pression de son activité sur les ressources naturelles, principalement l’énergie, l’eau et les sols qui sont impactés par leurs productions agricoles.
Dans une interview accordée à Euphorie Mag, Delphine Smagghe, directeur du développement durable chez McDonald’s France, ajoute : »Dans les restaurants, aussi, il reste des questions complexes : aller au bout de la gestion de nos déchets, maîtriser davantage les nuisances et régler le problème des émissions liées aux déplacements de nos clients.«
Et de justifier la stratégie de l’enseigne de restauration américaine : »Si nous voulons être là dans 50 ans, notre entreprise doit justifier de sa place dans la cité, au-delà de sa raison d’être économique. Elle doit accompagner son époque. Prendre sa part de responsabilité en matière d’environnement, cela en fait partie. »
Le problème avec l’éologie et l’environnement est que cela sert de plus en plus souvent à la communication et pas toujours à la réalité écologique. Souhaitons que la démarche de Mc Donald’s soit sincère et « durable ».