Mobilier Européen, victime du repli du marché français de l’ameublement
L’offre de reprise de Nicolas Finck a été retenue par la chambre commerciale du TGI de Mulhouse le 21 novembre dernier, en plus de celle de But principalement pour les magasins Atlas, celle de Casalys pour les entités Crozatier. Selon le tribunal de Mulhouse, un millier d’emplois seront probablement supprimés dont un tiers au siège mulhousien du groupe.
Une nouvelle page pour Fly
Nicolas Finck va devoir faire face à plusieurs obstacles dont la fragilité du marché français du meuble, la concurrence, de plus en plus rude, et la démotivation des équipes qui ont vu leurs collègues partir. Il a décidé – dans le cadre du plan de continuation validée par la justice – de s’orienter vers une structure organisée. Il a financé le rachat des actifs (200 000 €)…
Vu sur Les Echos.