Après avoir travaillé durant une quinzaine d’années dans le commerce, Rémy est tombé sous le charme des produits de Neuville et est devenu, bien plus qu’un simple client, mais un véritable fan des créations de la marque. Il a été séduit au point qu’il décide de devenir franchisé de Neuville en reprenant la boutique de la Valette-du-Var. Petite interview sur le parcours qui l’a amené à ouvrir une boutique de son chocolat préféré!
Avez-vous déjà travaillé dans une franchise ?
Rémy : « En franchise non, mais j’ai travaillé en magasin succursale pendant de nombreuses années. En tout, cela va faire 15 ans que je travaille dans le commerce. Avant, je travaillais dans le commerce du sport, dans une enseigne sportive et ensuite dans une enseigne de cosmétiques.
J’ai dirigé dans plusieurs magasins en France, à Paris, notamment et quand j’avais fait le choix de vie de descendre dans le sud, à Toulon et de prendre la boutique de la Valette-du-Var qui est le centre de l’avenue 83, un nouveau centre commercial, il y a deux ans, j’avais fait une mutation avec mon entreprise.
C’est là que j’ai rencontré une superbe personne dans la boutique de Neuville qui m’a vendu énormément de chocolat. Je me suis dit j’adore ces produits-là et j’adore sa manière de vendre. Ça m’a rapproché d’elle et effectivement, au fur et à mesure, j’étais devenu un client privilégié chez elle, je venais régulièrement et on peut dire que je faisais partie des très bons clients ».
Pouvez-vous nous raconter votre formation ?
Rémy : « J’ai été en formation à Roanne pendant deux jours avec mon premier vendeur. Nous sommes partis tous les deux découvrir Roanne, d’où venait le chocolat et comment il était fabriqué. Cela nous a permis de nous rendre compte comment était fait le chocolat: du produit de départ, jusqu’au moment où il était livré en boutique, comment il était conditionné et comment nous le recevions.
Nous avons ensuite eu une période de deux semaines à Noisiel où nous avons été formés sur toutes les techniques: de ventes, d’utilisation du logiciel informatique, le devis et l’organisation boutique, le travail avec le siège, la gestion d’entreprise…
Par la suite, nous avons passé deux semaines en boutique succursale, sur Raymond Losserand, où nous avons été accueillis par une manager formidable qui nous a donné encore plus envie de nous battre, d’appréhender ce marché du chocolat et de travailler avec une clientèle très particulière: une clientèle très locale alors que je m’étais habitué à être en contact avec une clientèle de centre commercial et donc diffuse. C’était nouveau mais aussi intéressant de côtoyer cette clientèle de quartier dans une petite rue.
Enfin, nous avons fait les deux semaines de passation dans la boutique-même ».