Dans cette vidéo, Le Groupement Mousquetaires nous explique comment se passe une journée découverte. Celle-ci permet d’accueillir les nouveaux candidats souhaitant rejoindre le groupement et de leur expliquer en détails le parcours et la vie de chef d’entreprise Mousquetaire.

Une journée pour mieux connaître le groupement
Pour Aurore Thiébault, candidate Intermarché, la journée d’information permet de découvrir d’autres adhérents, de savoir si elle se sent à l’aise ou pas dans son nouveau rôle et de se projeter dans son futur projet.
Mélanie Michon, chef d’entreprise Intermarché et Responsable adjointe recrutement, profite de cette journée spécialise pour informer les candidats sur le fonctionnement du groupement, ses chiffres, le tiers-temps, les avantages à faire partie des Mousquetaires…
« Durant cette journée, ce qui est vraiment ressorti, c’est l’entraide. On est chef d’entreprise, c’est-à-dire qu’on est quand même autonome et indépendant et donc pilote de notre entreprise. Mais, pour autant, on fait partie d’un groupement et c’est une réelle force parce que du coup on n’est pas seul », explique Ophélie Chabbert, candidate Netto.
Parmi les candidats de cette journée, certains ont expliqué ce qui les a séduits dans le tiers-temps, l’engagement des chefs d’entreprise Mousquetaires dans la codirection opérationnelle du Groupement et son pilotage stratégique.
« Le tiers-temps c’est ce qui fait la valeur du groupement. C’est quelque chose qu’on ne retrouve pas ailleurs et tant mieux… C’est ce qui fait qu’on fédère, c’est ce qui fait qu’on se soutient les uns les autres et c’est ce qui fait qu’on est plus fort sur beaucoup de points », affirme Aurore Thiébault.
Ophélie Chabbert est convaincue pour sa part que le tiers-temps fait que « tous les chefs d’entreprise s’investissent pour le groupement. Donc automatiquement, ça ne peut que fonctionner puisque c’est pour leur porte-monnaie, quelque part, qu’ils travaillent ».
Jouant toujours la carte de la transparence, le Groupement Mousquetaires veille par ailleurs à rappeler à ses candidats qu’ils ne sont par rémunérés durant toute la période de leur formation d’une durée de 6 mois.
« Le risque financier, le fait de ne pas gagner d’argent pendant le temps de la formation est quelque chose qui a été énoncé dès le départ. Et lors du premier entretien, ils creusent un petit peu plus justement sur cette capacité de tenir 6 mois sans rentrer d’argent », confie Ophélie Chabbert.
Kelly Beaujean, chef d’entreprise Intermarché dans les Pays de la Loire, rappelle que détenir plusieurs points de vente l’oblige d’être sur le terrain.
« La transparence des adhérents fait qu’aujourd’hui cela nous permet d’être objectif sur notre projet professionnel. Et de se dire que tout n’est pas beau, tout n’est pas rose, mais qu’on est vraiment dans un milieu professionnel où il va falloir se lever le matin pour se battre, mais qu’à côté, on est une équipe et c’est ce qui fera notre force de demain », explique Steven Georget, candidat Intermarché.