Les résultats permettent de dégager un portrait-robot de l’agent immobilier idéal : celuici doit être en mesure de proposer un accompagnement et des solutions dans toutes les phases du projet immobilier et être impliqué dans la vie de son quartier.
Un constat sévère pour le métier d’agent immobilier
L’étude GUY HOQUET L’IMMOBILIER-Ifop* sur « La perception et les attentes des Français à
l’égard des agents immobiliers» révèle que la profession souffre d’un réel déficit d’image auprès
de l’opinion publique. En effet, 66% des Français disent avoir une mauvaise opinion des agents immobiliers. Une cote de popularité qui s’améliore néanmoins chez ceux ayant été récemment en contact avec un agent immobilier (35% d’opinions positives contre 31% dans le cas
contraire).
Les griefs des Français résident tout particulièrement dans le manque de proximité avec les clients
(58 %) et l’insuffisante implication dans la vie du quartier (73%). « Nous devons prendre acte de ces résultats très négatifs et nous interroger rapidement sur les causes, propose Guy Hoquet. Il est
probable que l’ouverture d’agences par des non-professionnels de l’immobilier explique en partie la dégradation de l’image de cette profession ».
Un métier qui génère de nombreuses attentes
Si elle dresse un état des lieux sans concession, l’étude permet néanmoins de révéler les attentes des Français dans la phase essentielle que représente pour eux la recherche d’un bien immobilier, à la location comme à la vente.
Face à un marché qui se complexifie, les Français réclament avant tout qu’on leur propose une
expertise solide et une bonne connaissance du secteur. 57% des personnes interrogées
attendent d’un agent immobilier qu’il propose des solutions adaptées à leurs souhaits. 48% jugent
primordiale la capacité à les informer sur la législation et les prix en vigueur et pour 36% des Français prime la bonne connaissance du marché.
L’étude révèle également que les Français attendent des agents immobiliers une prise d’initiatives
originales orientées vers le service et le conseil. 95% des Français apprécieraient ainsi que
l’agent immobilier dispense plus facilement des conseils non commerciaux (indication des quartiers en développement, opportunités du marché, etc.) et 75% souhaiteraient qu’il participe davantage à la vie sociale du quartier.
Premières pistes d’amélioration et engagements du réseau GUY HOQUET L’IMMOBILIER
« Les conclusions de cette étude rejoignent en grande partie l’analyse que nous faisons du marché et de la profession telle qu’elle se pratique aujourd’hui : en période de crise, nous devons plus que
jamais porter nos efforts sur le renforcement de notre expertise et sur la qualité de la relation client.
C’est pourquoi nous avons décidé de mettre en place un plan d’action répondant à ces attentes
spécifiques », explique Guy Hoquet.
Renforcer l’expertise du métier
Pour répondre à la première préoccupation de ses clients, Guy Hoquet L’Immobilier va
renforcer l’expertise et le professionalisme.
L’agent GUY HOQUET L’IMMOBILIER s’engage désormais auprès de son client sur ses
résultats : avec la signature du « Contrat prioritaire », il s’engage sur un plan d’action concret,
avec un échéancier à respecter, une obligation de moyens et une garantie de résultats.
L’Ecole des ventes Guy Hoquet, dédiée à la formation de négociateurs va être lancée à la rentrée
2008. Un concept inédit : une véritable école, avec une équipe pédagogique dédiée, qui
accueille des stagiaires, négociateurs du réseau ou potentielles recrues, pendant un mois au
cours duquel leur seront proposés des cours théoriques et des expériences pratiques en situation.
Dans un contexte où le métier d’agent immobilier requiert à la fois des compétences techniques, des
connaissances juridiques et le sens du contact, l’objectif de cette Ecole des ventes est clair : former
des professionnels plus compétents, plus rigoureux et mieux rôdés à l’expérience du
terrain.
La relation client au coeur des préoccupations
95% des Français apprécieraient que leur agent immobilier puisse leur dispenser des conseils non-commerciaux, pour pouvoir se repérer dans un marché immobilier de plus en plus complexe.
Les « Journées citoyennes » : des sessions de conseil pour les habitants du quartier
Pour partager leur connaissance du marché et transmettre leur expérience, les agents du
réseau Guy Hoquet L’Immobilier vont organiser des rencontres pédagogiques avec les habitants du
quartier du 13 au 19 octobre 2008. Baptisées « Journées citoyennes », ces rencontres auront
pour objectif de dispenser aux particuliers des conseils pratiques et astuces pour les éclairer
(solutions de financement, pièges à éviter, quartiers qui ont la cote, etc.).
« Bon emménagement » : accompagner l’arrivée dans un nouvel appartement
Tous les agents du réseau ont décidé de partager et célébrer l’emménagement de leurs clients,
conscients qu’il s’agit d’un moment important de leur vie. Chaque client GUY HOQUET L’IMMOBILIER se verra livrer son premier petit-déjeuner avec la carte des commerçants du quartier, partenaires de l’opération.
La certification de services, un nouveau cap pour la démarche qualité du réseau
En 2006, GUY HOQUET L’IMMOBILIER avait déjà franchi une étape décisive en accomplissant toutes les démarches nécessaires à l’obtention de la norme Iso 9001 pour son système de management. Le groupe devenait alors le 1er réseau de franchise certifié Iso 9001.
A compter de 2009, cette certification qualité est envisagée au niveau de chaque agence.
Les agences candidates pourront ainsi obtenir, selon un process très précis, leur « certification de
prestation de services ». Un engagement jusque là inédit sur le marché immobilier.
Une nouvelle identité visuelle dès aujourd’hui
Nouvelles initiatives, nouvelles ambitions, nouveaux projets, la rentrée 2008 marque un tournant
important dans la vie du groupe GUY HOQUET L’IMMOBILIER. Un tournant qui prendra acte avec le
changement d’identité visuelle. Un logo plus sobre et plus moderne en accord avec la nouvelle image du réseau.
* Etude réalisée par l’Ifop du 18 au 23 juin 2008 sur un échantillon représentatif de la population française (1215 personnes)