Le géant australien de l’achat-vente aux particuliers a bien failli sombrer sur le territoire français après le dépôt de bilan du franchiseur français en 2000.
La suite avait donné lieu à moults démêlés judiciaires et provoqué un véritable éclatement du réseau. Celui-ci comptait 96 unités en 2000 et se trouve réduit à 31 aujourd’hui.
Les 5 franchisés qui ont relevé le réseau en reprenant la master-franchise étaient repartis de plus bas en 2001 en ne « sauvant » que 18 unités.
Les difficultés sont d’autant plus grandes que certains réseaux concurrents sont également d’anciens franchisés Cash Converters qui ont lancé leur propre concept comme Easy Cash par exemple.
Ces problèmes n’inquiètent pas l’équipe qui souhaite avant tout entourer ses franchisés et assurer l’implantation de nouveaux magasins. Dix ouvertures sont prévues cette année.
Les cibles prioritaires sont les agglomérations de plus de 100.000 habitants (les métropoles régionales) aussi bien en zone commerciale qu’en centre-ville.
Cash Converters compte en tout 600 unités implantées dans 28 pays et propose 3 offres : achat, vente et troc.