Bruno Bourmault et Thibault Percepied ont tous les 2 rejoint la franchise Les Menus Services depuis 2015. Gérant respectivement les agences du Mans et de Châtillon/Saint-Cloud, ils reviennent sur leurs parcours aux côtés de l’enseigne.
Témoignage de Bruno Bourmault, franchisé Les Menus Services au Mans
Bruno Bourmault a ouvert son agence Les Menus Services au Mans en juillet 2015. D’abord seul, il a été rejoint par son épouse Valérie et Marine, la diététicienne / chargée clientèle. Actuellement, l’équipe de l’agence se compose de 9 personnes.
Lorsqu’il s’est lancé, le franchisé ambitionnait d’accueillir et de fidéliser ses premiers clients et ainsi confirmer que le portage de repas est une activité porteuse et viable.
« Aujourd’hui, je suis conforté d’avoir fait le bon choix de métier : le pari est réussi ! », confie-t-il.
Selon Bruno, les clés du succès de son agence sont, tout d’abord, ses clients qui ont décidé de lui faire confiance dès le début. Le bouche-à-oreille a largement contribué à la notoriété de l’agence.
« Les actions menées durant les premières années sont de se faire connaitre, se faire connaitre et se faire connaitre ! Il a fallu faire preuve de dynamisme et ne rien lâcher. Pour mes clients : Toujours apporter une solution-écoute quel que soit la question et à n’importe quel moment. Pour mes partenaires : assimiler les particularités du secteur SAP et du milieu médico-social. En 1er lieu, je me suis toujours attaché à comprendre le travail de mes partenaires et ensuite à engager un vrai dialogue avec eux. Connaître ses prescripteurs, c’est se retirer des barrières pour aller les rencontrer… ».
Le franchisé a bien évidemment pu se fier au savoir-faire du réseau Les Menus Services, ce qui lui a permis de se concentrer sur le développement et l’organisation de son activité.
Pour ce qui est des prochains objectifs qu’il souhaite réaliser, Bruno prévoit de déménager vers de nouveaux locaux afin d’améliorer sa visibilité et apporter un meilleur confort de travail.
« Concernant notre développement, continuer à maintenir notre service de qualité afin de garder nos clients et d’en acquérir de nouveau. Veiller à la concurrence si l’opportunité de rachat se présente », conclut le franchisé.
Témoignage de Thibault Percepied, multi-franchisé Les Menus Services Châtillon et Saint-Cloud
Au sein du réseau depuis le 1er décembre 2015, Thibault Percepied est aux commandes de son agence implantée à Châtillon, ville située à la périphérie de Paris, qui livre la moitié sud du département des Hauts-de-Seine. A l’époque, la tête de réseau lui avait cédé des clients qui étaient livrés par une de ses succursales. Son équipe était composée de 3 personnes lors du lancement.
A ses débuts, Thibault souhaitait, à court terme, fidéliser l’ensemble des clients repris, puis rapidement développer son activité.
« Je savais que la 1ere année était une course contre la montre : atteindre puis s’éloigner du point mort.
Pour y parvenir, vis à vis de l’ambiance de travail au sein de l’agence, j’avais une ligne directrice : que l’équipe prenne du plaisir à travailler, vienne avec le sourire, qu’ils sachent l’importance qu’ils ont au quotidien (sans eux l’agence n’est rien), que l’on puisse faire grandir l’agence en bonne intelligence, en leur donnant les moyens de bien travailler : un véhicule propre, qui fonctionne, une organisation rodée dans laquelle ils puissent s’épanouir et enfin des process clairs et « industrialisable » pour de futurs gros volumes de livraison », explique le franchisé.
Selon lui, son agence doit son succès aux équipes, en 1er, pour fidéliser le client et aux process, en second lieu, pour faire face au volume et ne pas tomber dans la désorganisation.
« A l’externe, côté prescripteurs l’agence est maintenant bien connue et reconnue auprès des prescripteurs, c’est un gage de sérieux pour le bouche-à-oreille notamment. Ils savent qu’ils peuvent nous appeler la veille pour le lendemain, que nous faisons systématiquement des mises en place, que l’horaire de livraison annoncé sera respecté, que nous veillons sur nos clients et avons un rôle d’alerte si la santé du bénéficiaire se dégrade », explique Thibault.
Les propos de ces 2 témoignages ont été recueillis fin 2020.