Choisir de devenir franchisé c’est bénéficier de plusieurs avantages : Concept testé et éprouvé, savoir-faire, accompagnement, assistance, notoriété de la marque, aide à la recherche de l’emplacement, aide à l’obtention d’un financement bancaire… en contrepartie d’une rémunération. Cette rémunération, appelée droit d’entrée, est fixée par le franchiseur. A quoi sert-elle ? Que couvre t-elle ? Quel est son montant ? Découvrez dans cette vidéo les réponses et les conseils de Jean Samper, Consultant en franchise.
Pourquoi faut-il payer un droit d’entrée ?
Appelé également redevance initiale forfaitaire (RIF), le droit d’entrée est payé par le franchisé à son franchiseur lors de la signature du contrat de franchise. Mais il arrive que le paiement du droit d’entrée soit échelonné. Son montant varie d’une franchise à une autre en fonction de la notoriété de cette dernière et des services et avantages apportés par le franchiseur dès le départ à ses franchisés, avant l’ouverture de leurs points de vente. Il est généralement compris entre 0 et 30 000 € voire plus. Il varie également d’un pays à l’autre selon les lois en vigueur de chaque pays.
Que couvre le droit d’entrée ?
En échange du droit d’entrée, le franchisé obtient :
- L’utilisation de la marque et du concept
- La transmission du savoir-faire
- Le droit de bénéficier des méthodes et des procédés mis au point par le franchiseur
- L’assistance initiale
- Le cas échéant l’exclusivité territoriale accordée au franchisé
- Et peut également comprendre la formation, les logiciels, le matériel spécifique…
Comparer les offres des différentes enseignes
Le droit d’entrée varie d’une enseigne à une autre. Le montant est fixé par le franchiseur et mentionné dans le DIP. Ce que le franchiseur donne en échange doit également être mentionné dans le contrat de franchise.