La franchise Espaces Atypiques affirme avoir enregistré une augmentation de son chiffre d’affaire en 2017 à hauteur de 91 %. Le réseau s’est fixé pour objectif de dépasser le cap des 30 agences en 2018 et de recruter 50 professionnels par an jusqu’en 2020.
Un CA en hausse de 91 % pour Espaces Atypiques
Le réseau d’agences immobilières spécialisé dans les biens contemporains et atypiques revendique une dynamique très positive depuis sa création en 2008. L’année dernière, l’enseigne aurait enregistré une croissance de 91 % de son chiffre d’affaires qui est passé de 5.1 à 9.7 millions d’euros en 2017, une augmentation de 92 % du volume de transactions et le recrutement de 54 nouveaux collaborateurs (128 conseillers actuellement).
L’an dernier, le réseau a inauguré plusieurs nouvelles agences à Nice (Alpes-Maritimes), Saint-Tropez/Toulon (Var), Toulouse (Haute-Garonne), Strasbourg (Bas-Rhin), Dijon/Mâcon (Bourgogne), Paris (Rive-Gauche), Fontainebleau (Seine-et-Marne), Yvelines (Saint-Germain-en-Laye) et Val-d’Oise (Soisy-sous-Montmorency).
Pour ce qui est des perspectives, Espaces Atypiques ambitionne de dépasser les 16 millions d’euros de CA et de recruter 50 professionnels par an jusqu’en 2020. L’enseigne souhaite aussi dépasser le cap des 30 agences d’ici la fin de l’année.
Analyse du Président et fondateur d’Espaces Atypiques sur la conjoncture immobilière 2018
Dans son analyse de la conjoncture immobilière 2018, Julien Haussy, Président et fondateur d’Espaces Atypiques, explique: « Concernant la conjoncture 2018, les fondamentaux liés à l’immobilier resteront excellents avec une économie internationale en très forte croissance et une économie française solide.
Un moral des français au beau fixe, des taux d’intérêts qui restent historiquement bas, une pénurie de logements et encore beaucoup de ménages qui veulent devenir propriétaires en seront les principales raisons. Le Brexit dope le marché des grands appartements familiaux parisiens et les étrangers réinvestissent celui des résidences secondaires« .
Pour ce qui est des prix de l’immobilier, Julien Haussy s’attend à « un rééquilibrage du marché au fur et à mesure de l’année. Les propriétaires ont encore la main, surtout dans les grandes agglomérations et à Paris car il y a une pénurie de biens. Les prix devraient donc encore monter légèrement sur le premier semestre (3%), puis stagner« , conclut-il.
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