Interview vidéo AC Franchise Bureau Vallée publiée en 2011
Bruno Peyroles : « Les fondamentaux du concept Bureau Vallée sont d’abord basés sur la qualité des hommes et des femmes en relation profonde avec ce que nous sommes, c’est-à-dire un corps de valeur, une pratique, une culture, une qualité d’échange, une réelle pratique de la communication, de l’entraide, du partage des expériences, et sur ces fondamentaux humains, nous construisons un concept qui est dédié à des clients au travers d’une offre de proximité. Une proximité ca veut dire non seulement être proche géographiquement mais aussi être proche en permanence des attentes des clients.
Nous avons un concept qui pour autant est en libre service mais au même temps est un concept de conseil ajusté. Deuxième point, déclinaison historique pour nous les prix, le discount essentiel, basique mais considéré comme normal par les consommateurs d’aujourd’hui. Dernier point c’est une capacité et une volonté d’adaptation permanentes à des comportements et des attentes qui évoluent, technologiques mais aussi dans l’offre, plus de services, plus de variété dans les propositions. Un métier de commerçant !
Pourquoi cherchons-nous à cibler des candidatures dont les apports en fond propre sont plus faibles que le standard d’aujourd’hui ? Notre moyenne aujourd’hui de fonds propres des candidats se situe entre 80 et 90 mille euros, or la majorité des entrepreneurs qui cherchent à créer en franchise amènent un fond propre de l’ordre de 150 mille euros. Nous avons décidé de monter une structure financière qui permet à ces candidats, grâce notamment à un effort de la baisse du droit d’entrée mais aussi par la réorganisation dans le montage du projet financier, de réaliser un projet Bureau Vallée tout en conservant un équilibre avec un espoir légitime de résultats et de bénéfices qui seront le retour sur investissement de leurs efforts de création.
Les autres évènements de l’année 2010, sont l’ouverture au Luxembourg, un petit plus étonnante que ce que nous attendions parce que la culture au Luxembourg est moins sensible aux prix apparents, même si nous vendons des marques, que nous le sommes en France. Pour autant, nous sommes en train de trouver des solutions – avec un début de succès- aux spécificités du marché. C’est notre métier de distributeur que de savoir nous adapter à des attentes différentes.
L’ouverture également d’un deuxième magasin en Espagne, et très intéressant aussi la première ouverture dans une zone mixte euro/dollar à Saint-Martin dans les Antilles puisque c’est une île sans frontières, on passe donc de la zone française (euro) à la zone néerlandaise (dollar), première confrontation qui est pour l’instant gagnante ».