Intermarché fait de la lutte contre la vie chère son combat au quotidien. Intermarché, classée deuxième enseigne la moins chère en janvier 2008 dans le magazine Linéaires, s’est organisée pour limiter au maximum les effets des hausses des matières premières sur les prix.
L’enquête Nielsen de janvier 2007- 2008, publiée dans la presse, établit l’augmentation des prix des 1200 produits de marques nationales les plus vendus à + 1,29 %. Dans le même temps et sur les mêmes bases, Intermarché affiche une hausse de prix de + 0,22. Néanmoins, la hausse de certaines matières premières dans des proportions importantes depuis juillet 2007 a provoqué une hausse mécanique des tarifs de certains produits.
Ex : Les coquillettes top budget ont effectivement augmenté de 43 %. Pour rappel, le blé dur a augmenté de 147 % depuis juillet et entre pour 50 % dans la composition des pâtes.
Ces pâtes restent à ce jour les moins chères du marché.
A l’inverse, quand le cours des matières premières baisse, nous le répercutons immédiatement sur les prix de nos marques propres d’autant plus facilement que nous possédons nos unités de production. Cet outil industriel performant nous permet de mieux maîtriser nos coûts et notre politique de prix.
Ex : Les produits Monique Ranou (marque propre de l’enseigne en charcuterie) fabriqués dans notre unité de production en Bretagne : sur le jambon cuit gourmand 4 tranches, le prix a baissé de + de 2,70% de mai 2007 à Janvier 2008. Soit un prix de vente de 2,23 euros en mai à 2,17 euros en janvier.
Fidèle à son concept, l’enseigne réaffirme ses engagements de lutte contre la vie chère et de maintien du pouvoir d’achat.