Le marché de la réparation de volets roulants connaît une dynamique remarquable en France, portée notamment par la franchise Répar’stores qui affiche une croissance soutenue depuis sa création en 2009. Avec 240 franchisés exploitant actuellement 320 secteurs et déployant plus de 460 véhicules d’intervention sur le territoire national, le réseau s’impose comme un acteur incontournable de ce secteur de niche.

Objectif de développement et profil de franchisé recherché
L’objectif fixé par le réseau Répar’stores pour 2026 est ambitieux : dépasser la barre symbolique des 500 véhicules. Cette expansion s’inscrit dans un contexte particulièrement favorable pour l’enseigne, qui bénéficie désormais du soutien du groupe SOMFI, leader mondial de l’automatisation des accès, ouvrant la voie à une internationalisation accélérée dès janvier 2026 vers la Belgique, l’Allemagne et l’Espagne. Pour les candidats à la franchise, Répar’stores représente une opportunité d’autant plus intéressante qu’elle combine accessibilité financière, absence de prérequis techniques et performances économiques solides, même dans un contexte de crise du secteur du bâtiment neuf.
L’un des atouts majeurs de Répar’stores réside dans l’accessibilité de son modèle franchisé, tant sur le plan financier que sur celui des compétences requises. Contrairement à de nombreuses enseignes du secteur du bâtiment qui exigent une expérience professionnelle préalable, Répar’stores mise sur des profils d’entrepreneurs enthousiastes dotés d’une simple appétence pour le bricolage et le travail manuel.
« Aujourd’hui, l’immense majorité de nos franchisés ne sont pas issus du monde du bâtiment, ni voire même d’un métier manuel préalable », déclare Bruno Chevalier, Directeur réseau.
Cette ouverture se traduit par une diversité remarquable au sein du réseau : le plus jeune franchisé n’a que 19 ans et a récemment repris un secteur aux côtés de son père, franchisé depuis 15 ans, tandis que le doyen s’apprête à prendre sa retraite à 72 ans.
D’ailleurs, chaque année, en raison du départ en retraite de certains de ses franchisés, Répar’stores dispose d’une dizaine d’agences à reprendre. L’âge moyen des franchisés s’établit à 44-45 ans, avec une tendance au rajeunissement progressif du réseau.
Sur le plan financier, l’investissement total requis s’élève à 50 000 euros avec seulement 5 000 euros d’apport personnel, un montant particulièrement compétitif rendu possible par l’absence de local commercial. Cette accessibilité explique en partie le rythme de croissance soutenu du réseau, qui accueille entre 35 et 45 nouveaux véhicules d’intervention chaque année.
Une rentabilité rapide qui résiste à la crise du bâtiment
Les performances économiques de Répar’stores constituent un argument de poids pour les candidats à la franchise, particulièrement dans le contexte actuel de ralentissement du secteur de la construction.
« Aujourd’hui, cette activité est rentable dès la première année et on est sur des retours sur investissement entre 2 et 3 ans maximum ».
Cette rapidité d’amortissement s’explique par le positionnement stratégique de l’enseigne sur le marché de la réparation plutôt que du neuf, un choix qui s’avère particulièrement judicieux face à la chute des constructions neuves.
Le développement des multifranchisés témoigne également de l’attractivité du modèle :
« Aujourd’hui, les multi-franchisés, c’est-à-dire les franchisés qui ont plusieurs véhicules et/ou plusieurs secteurs, sont 98, mais cela représente déjà 40 % de l’ensemble des franchisés du réseau. Et ces 40 % de franchisés embauchent 226 salariés. Donc, aujourd’hui, un multi-franchisé exploite entre 3 et 4 véhicules d’intervention ».
La fidélité des franchisés constitue un autre indicateur de satisfaction : les premiers franchisés, arrivés en 2009 et 2010, sont toujours présents dans le réseau avec plus de 15 ans d’ancienneté. Pour l’avenir, Répar’stores entend renforcer son ADN basé sur le principe « réparer avant de remplacer », en misant sur la durabilité des produits et la domotisation pour accompagner la réduction de consommation énergétique des clients.
« Nous allons tout faire pour accentuer ce concept, pour travailler sur la durabilité des produits, augmenter leur durée de vie parce que ce sont des notions dans l’air du temps et de plus en plus chères à l’ensemble des consommateurs. Nous allons aussi travailler sur la domotisation, l’automatisation dans les maisons de nos clients afin de leur permettre d’avoir des automatismes qui les aident à réduire leur consommation d’énergie ».
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