Nicolas Maitrejean a passé une décennie à Paris en tant qu’agent immobilier avec le groupe Foncia. Désireux de devenir indépendant, il décide de retourner dans sa région natale, la Beauce. En 2007, il rejoint le réseau Century 21. Dans cette interview réalisée en octobre 2022, il revient sur son parcours et explique les raisons de son choix d’intégrer cette enseigne.
Les atouts Century 21, « un formidable vecteur d’accélération »
Nicolas a commencé sa carrière professionnelle dans l’immobilier en tant que stagiaire, avant de gravir les échelons pour devenir conseiller en location, conseiller transaction, directeur des ventes, et finalement directeur commercial. À l’âge de 28 ans, il a souhaité devenir son propre patron et est retourné en Beauce.
« C’était naturel pour moi de prendre une marque forte, et selon moi, la marque de l’époque la plus forte était Century 21. Je me suis donc rapproché des équipes de développement qui ont décidé de m’entretenir, de me caster et qui m’ont fait confiance dans l’ouverture de mon agence sur la ville de Chartres. Aujourd’hui, je suis ravi de ce choix », relate le Directeur Century 21 Maitrejean Immobilier à Chartres depuis le 2 janvier 2007.
Nicolas Maitrejean a démarré son projet seul, avec seulement une assistante pour le soutenir. Aujourd’hui, son équipe compte une trentaine de collaborateurs spécialisés dans divers métiers.
« Notre activité principale est la transaction résidentielle. On fait à peu près 220 ventes par an. Et on a développé une activité de gestion locative, on gère maintenant près de 1 000 logements sur la ville de Chartres et on fait 450 locations. Une activité d’immobilier professionnel, on a monté une agence dédiée à l’immobilier professionnel, une activité de vente de neuf ».
Ayant renouvelé son bail à trois reprises, Nicolas se réjouit de sa relation avec la marque, ses collaborateurs, et les patrons partenaires. Il recommande vivement aux agences indépendantes de rejoindre le réseau Century 21 pour bénéficier de ses outils, de son image, et de sa notoriété, qu’il considère comme « un formidable vecteur d’accélération de leur production ».