Témoignage de José Sanchez, franchisé Ink’eko à Rodez
Le choix du concept
« Malgré les freins qui portent souvent préjudice aux jeunes réseaux (expérience, notoriété, organisation, formation, animation, etc.), les divers contacts avec Ink’eko ont su balayer mes craintes et m’ont surtout permis d’apprécier le sérieux du concept et sa capacité à devenir un acteur légitime sur son marché. C’est toujours agréable et rassurant de sentir qu’en tant que candidat, on est au cur du projet et que l’aspect économique (apport financier du futur franchisé) n’est pas le critère déterminant! On évalue également un réseau à ses franchisés, et les contacts que j’ai eu avec plusieurs d’entre eux m’ont conforté dans ma décision. Ce sont des personnes aimables, disponibles, enthousiastes, qui ont connu les mêmes interrogations, les mêmes doutes que moi et qui, si elles en avaient l’occasion, referaient le même choix. »
Les atouts du réseau
« La franchise Ink’eko m’a apporté un concept clef en main, spécifique, différenciant, éprouvé, rentable et évolutif. Les franchisés font partie intégrante de l’évolution du réseau, grâce notamment aux retours d’expérience et aux partages de best practices. »
« Le franchiseur m’a efficacement soutenu lors du démarrage de mon activité, notamment sur le plan technique, avec une disponibilité sans faille et directe. »
Le profil d’un franchisé Ink’eko
« Pour devenir franchisé Ink’eko, il faut être motivé, enthousiaste, doté de capacités commerciales pour la prospection des professionnels, des collectivités, etc. Il faut également avoir le sens du contact, de l’organisation et l’envie de partager son expérience pour faire évoluer le réseau. »
« Pour conclure, oui je suis satisfait de mon choix. Les produits Ink’eko offrent réellement une alternative fiables aux produits de marque originaux. Ils sont tout aussi rentables pour les clients que pour le franchisé. L’assistance du franchiseur et sa capacité d’écoute à l’égard du franchisé pour améliorer la performance du réseau sont également des atouts du réseau Ink’eko! »