Orpi vient de dévoiler les résultats de son dernier sondage sur les tendances de l’investissement. 800 investisseurs particuliers ont participé à cette action menée en juin dernier.
Les résultats ont mis en valeurs trois principales tendances : en dépit de la crise sanitaire, le logement « étudiant » connait encore du succès car il garantit une certaine sécurité en termes d’investissement. D’autre part, le choix de ce type de placement est d’abord constaté chez les personnes primo-accédantes ainsi qu’au niveau des agglomérations moyennes.
Les investisseurs ont tendance à privilégier les logements « étudiant »
Selon les résultats affichés par le sondage, 26% des investisseurs interrogés affirment souhaiter investir dans des logements « étudiant ». Parmi ces derniers, 62% le considèrent comme sécurisant. Ceci confirme la résilience de ce marché notamment en ce contexte actuel de crise.
« Calculer son rendement au plus juste nécessite de prendre en compte tous les paramètres, y compris les imprévus et les temps de vacance du logement. Un an de cours à distance aurait pu impacter les investisseurs et les mettre en difficulté. Finalement, on s’aperçoit que bien conseillés et préparés, les porteurs de projet ont poursuivi leurs investissements, avec la perspective d’un retour en cours dès la rentrée – qui apporte aussi une certaine stabilité à ce marché ». Christine Fumagalli, Présidente du réseau Orpi.
Investir dans les logements « étudiant » s’avère plus rentable
Les villes les plus sollicitées pour les logements « étudiant » sont : Paris, Lyon, Nice, Toulouse et Bordeaux.
Selon Christine Fumagalli, les investisseurs qui ont le plus de moyens préfèrent miser sur le long terme pour garantir la rentabilité, en faisant la comparaison entre le coût total d’un bien en location sur la totalité du parcours étudiant de leurs enfants par rapport au prix d’acquisition d’un studio.
Cette rentabilité se traduit également en termes d’apport pour le futur, suite à l’entrée à la vie professionnelle de son enfant. Il peut également représenter après quelques temps un complément de retraite dont pourront bénéficier les parents.