Pour le réseau Le Jardin des Fleurs, le marché de la fleur bénéficie d’une consommation stable. Si aujourd’hui, il est l’un des rares secteurs à ne pas être structuré autour de grandes enseignes, il sera appelé à l’être dans le futur. Dans un marché où les clients attendent de leur fleuriste une accessibilité (horaires, stationnement) et une lisibilité de l’offre, les fleuristes du Jardin des Fleurs répondent à ces attentes avec leur amplitude horaire, leur offre et leur animation marketing.
Un marché porteur mais à structurer
Le marché de la fleur est notamment boosté par une consommation stable des français qui n’hésitent pas à offrir des fleurs, tout au long de l’année, pour les divers évènements de la vie ou au quotidien pour se faire plaisir. 22 millions de bouquets de roses sont achetés chaque année!
Cependant, le secteur reste encore à structurer. En effet, actuellement, 500 magasins de fleurs sont sous enseigne pour 15 100 fleuristes dits traditionnels, hors réseau et hors enseigne, soit 96% des points de vente.
Les grandes enseignes détiennent seulement 4 % des magasins sous enseigne mais se partagent tout de même 25 % du chiffre d’affaires du secteur.
Dans les prochaines années, on s’attend à l’émergence de quelques acteurs qui sauront répondre aux attentes des consommateurs en proposant des concepts et promesses forts.
Le marché de la fleur en chiffres
Au total, 15 180 entreprises ont déclaré une activité de fleuriste. La filière « fleuristes » génère 18 370 emplois, dont 650 par le Groupe Flora Nova.
Le chiffre d’affaires moyen d’un fleuriste traditionnel indépendant évolue autour de 137 000 euros alors que le CA moyen d’un fleuriste sous enseigne le Jardin des Fleurs peut être estimé à 410 000 euros (en année 2).
Les ménages dépensent pour leurs achats de végétaux d’ornement 3.1 milliards d’euros par an, dont 860 M€ de végétaux d’extérieur, 1 430 M€ de plantes d’intérieur et fleurs et 840 M€ pour les obsèques et les cimetières.