AC Franchise : Pourquoi avez-vous choisi le réseau A4 Traduction ?
Hervé Delmond : Je recherchais un secteur d’activité, en B to B, sans fonds de commerce ni investissement lourd et plutôt dans un domaine intellectuel. A4Traduction est la seule franchise existante dans ce domaine.
ACF : Qu’est ce qui vous a séduit dans le concept ?
HD :Ce qui m’a premièrement séduit chez A4traduction c’est le discours et la démarche du fondateur, qui se démarque foncièrement des autres franchiseurs. Ensuite, c’est le fait d’aborder une multitude de connaissances, d’apprendre ou de se perfectionner dans des domaines différents et des secteurs d’activités multiples (nos clients sont dans tous les secteurs économiques).
La base de notre activité est linguistique mais pour être présent sur internet, il est indispensable d’acquérir des connaissances sur le référencement et le fonctionnement de Google ainsi que sur les réseaux sociaux.
ACF : Quelle a été votre démarche ?
HD : Etant donné la spécificité de l’activité et le caractère atypique de cette franchise, je n’ai pas utilisé des modèles d’analyse classique pour fonder mon choix.
ACF : Comment avez-vous été accompagné dans votre la réalisation par le franchiseur avant l’ouverture ?
HD : L’accompagnement a été fait par le franchiseur dans toutes les étapes qui ont précédé l’ouverture de l’agence.
Tout d’abord une formation plus théorique où l’on aborde tous les sujets inhérents à l’activité proprement dite, puis tous les sujets périphériques comme, la gestion d’une TPE, la comptabilité, le commercial, les réseaux sociaux, le référencement internet.
Ensuite, une formation pratique avec une chef de projet, qui nous apprend les bases de notre métier : mails, contact client, contact traducteur et interprète, procédures de traitement des demandes, utilisation des outils informatique et logiciels professionnels.
ACF : Quelle principale difficulté avez-vous rencontrée, et quelles sont les solutions mises en place ?
HD : La principale difficulté de ce métier lorsque le candidat n’a jamais été à son compte, c’est le fait d’être seul face à son écran et rester disponible presque 7/7 jours pour les contacts clientèle. En effet, il faut déployer beaucoup d’énergie et de temps (référencement, réseaux sociaux, présence locale) pour avoir des contacts liés au positionnement sur Google. Une présence téléphonique réactive et permanente est indispensable surtout au début pour capter l’ensemble des demandes.
ACF : Quel rôle occupe le franchiseur à vos côtés aujourd’hui ?
HD : Le franchiseur reste quotidiennement à nos côtés au début de l’activité et tant que nous ne sommes pas vraiment autonome : aide à la résolution des problèmes quotidiens liés à l’activité, soutien à la communication et au référencement notamment.
ACF : Quels sont selon vous les grands avantages de votre métier ? Et les contraintes ?
HD : Les avantages de mon métier est le sentiment de rendre service, d’être utile, d’approfondir de nombreuses connaissances et de mieux appréhender le tissu économique local, .
Les contraintes sont liées à l’activité sur internet : être présent et disponible à chaque fois qu’une demande arrive car chaque contact coûte cher en temps et effort de référencement.
ACF : Quels conseils donneriez-vous aux candidats désireux de rejoindre le réseau ?
HD : Le candidat qui désire rejoindre notre réseau doit bien appréhender les contraintes de notre métier : réactivité et polyvalence. Chaque candidat doit aussi avoir à l’esprit que les agences construisent peu à peu leur présence sur internet et que la première année risque d’être peu gratifiante en termes d’activité et de rentabilité.