Aujourd’hui, nous sommes passés de 125 projets c’est-à-dire 125 clients qui nous ont fait confiance la première année, à 165 l’année dernière. Nous avons une croissance qui est là, les clients viennent nous voir, les amis de nos clients ou leurs familles viennent nous voir, il y a donc une satisfaction de voir que cela grandit, de voir que cela va dans le bon sens.
Je suis chef d’entreprise mais je suis aussi manager des ventes. Je suis vendeur concepteur aussi, je suis un peu responsable technique puisqu’il faut que j’accompagne mes poseurs sur les poses, je suis le responsable de la relation clients, il y a donc un stress qui est assez important. Il y a en plus toute la partie back-office que nous devons gérer mais je suis heureux parce que si je regarde le parcours fait en deux ans, et quand des fois j’ai un doute, les gens me disent tu ne te rends pas compte de ce que tu as monté en deux ans c’est impressionnant.
Moi aujourd’hui sur Mobalpa, je sais que nous avons une visibilité sur l’année au niveau des actions de publicité et de communication, ce qui nous permet de préparer notre plan de communication à ce niveau là. Ils ont aussi avec leurs agences, des ressources à disposition pour nous aider, pour nous accompagner dans nos plans de communication tels que les achats médias…
Je fais également partie de la commission de communication nationale, c’est ce qui me permet aussi d’être en amont des opérations et surtout ça me permet d’avoir un vrai échange avec Mobalpa, de remonter les besoins du réseau et puis de valider leur stratégie.
Pour ce qui est de l’avenir économique, nous pouvons avoir des doutes, mais pour l’avenir de la cuisine en tous les cas sur le marché parisien, moi je n’ai pas de doutes. Quand je vois le passage que nous avons actuellement et quand je vois le nombre de projets que nous sommes en train de monter je suis plutôt rassuré. Ensuite, il y a l’avenir à moyen terme où clairement pour moi, je n’espère pas m’arrêter à un seul magasin, j’espère passer sur un deuxième magasin. »