- la date de lancement de son activité ;
- son parcours ;
- ses résultats financiers ;
- son nombre de points de vente ;
- la formation et l’assistance qu’il propose ;
(Loi Doubin en France, Loi Laruelle en Belgique et loi de juillet 2009 en Tunisie)
Conformément à la loi Doubin de 1989 en France, au moins 20 jours avant la signature du contrat, le franchiseur vous transmet un Document d’information précontractuel (DIP) qui doit vous donner une information pertinente, complète et loyale (présentation du réseau, parcours des dirigeants, résultats financiers, perspectives de développement, état du marché, coordonnées et santé des autres franchisés). Étudiez ce document attentivement et faites vous aider par des professionnels pour mieux le décrypter (par un expert comptable ou un avocat). Notez qu’un DIP de bonne qualité est souvent synonyme de sérieux et de transparence !
Pour obtenir le crédit nécessaire à la création de votre franchise, les banques seront bien sûr sensibles à un business plan bien préparé. Sachez également que sur le montant total de l’investissement, les enseignes demandent en général 30 à 50 % d’apport personnel.
L’emplacement reste un des vecteurs clés de la réussite d’une franchise. Malheureusement, il représente aussi souvent un des aspects les plus difficiles à régler (rareté des emplacements, flambée des prix de l’immobilier). Prenez le temps de bien choisir votre local et n’hésitez pas à vous faire aider (par l’enseigne ou par des agences immobilières spécialisées par exemple).
Ne signez pas votre contrat de franchise trop vite Une fois signé, vous ne pourrez pas revenir en arrière pour une durée qui peut atteindre 10 ans ! Faites vous donc aider par un juriste qui pourra vous expliquer les points clés et vous indiquer des points d’incohérence.
La rédaction vous recommande de consulter l’article suivant : Futur franchisé : sachez bien choisir votre emplacement !