Danijela Liétart a ouvert, le 11 mars dernier, un nouveau salon L’Onglerie à Rambouillet. La franchisée n’est pas nouvelle au sein de ce réseau puisqu’elle avait acquis, en 2014, un autre centre L’Onglerie à Saint-Quentin-en-Yvelines qu’elle a fini par revendre. Danijela Liétart revient sur son parcours qui l’a définitivement convaincu de faire partie du réseau L’Onglerie.
Parcours d’une franchisée L’Onglerie ambitieuse !
Danijela Liétart, originaire de Novi Sad en Serbie, a décidé de s’installer en France après avoir rencontré son mari Jonathan lors de vacances en Espagne.
Titulaire d’une maîtrise en biochimie, Danijela Liétart culmulait, alors qu’elle était encore dans son pays d’origine, deux emplois. Elle travaillait à la fois à l’institut Pasteur et gagnait aussi de l’argent grâce à sa passion pour les ongles, ce qui lui a permis d’ailleurs de payer une partie de ses études.
Lorsqu’elle arrive en France, elle rejoint d’abord Jonathan à Lille pour qu’ils s’installent, par la suite, en Ile-de-France, à Saint-Cyr-l’École.
Danijela Liétart commençait à maîtriser la langue française et avait de travailler. C’est pour cette raison qu’elle effectue un stage, grâce à Pôle Emploi, au sein de l’institut L’Onglerie à Plaisir, puis décroche un emploi dans un bar à ongles indépendant.
« J’ai vraiment vécu cette expérience négativement, raconte la jeune femme. Les prestations et les soins étaient vraiment low-costs sans parler des conditions d’hygiène ! J’ai tenu deux semaines avant de démissionner et de vouloir me mettre à mon compte. », confie-t-elle.
Quelques expériences plus tard, Danijela Liétart entre en contact avec le réseau L’Onglerie car elle appréciait particulièrement la qualité des prestations et des produits, le professionnalisme du réseau ainsi que son image de marque.
« Laurent Treuil, le responsable du développement nous a informé que l’institut situé à Saint-Quentin-en-Yvelines était sur le point d’être vendu. Nous avons sauté sur l’occasion ! », se remémore-t-elle. « La patronne de l’époque a accepté de m’embaucher quelques mois afin que je comprenne l’état d’esprit de l’enseigne et les conditions de travail. J’ai fini par racheter l’institut en février 2014 après avoir validé mes acquis et mon expérience dans le centre de formation de L’Onglerie® à Bordeaux ».
Epaulée par sa salariée Johana Renard qui l’accompagne encore aujourd’hui, elle enregistre une croissance de 40 % du chiffre d’affaires. Quelques années après, elle donne naissance à ses deux petites jumelles et finit par déménager à Rambouillet, avec son mari Jonathan.
Ambitieuse, Danijela Liétart souhaitait ouvrir un 2ème institut, sur son lieu de résidence. Mais étant donné ses responsabilités en tant que maman, elle et son mari se sont mis d’accord pour revendre l’ancien centre et en ouvrir un nouveau à Rambouillet.
Aujourd’hui, la franchisée a sous sa direction une équipe composée de 3 prothésistes ongulaires et n’a toujours pas totalement écarté l’idée d’ouvrir un autre centre L’Onglerie « quand les filles seront plus grandes ».
Mais pour l’instant, « je profite de la compagnie de mes clientes, dont certaines sont devenues des amies… Car L’Onglerie®, ce n’est pas qu’un travail ! », conclut-elle.