Interview vidéo AC Franchise Atlas réalisée en 2009
Fabrice Tartrat : « Je suis franchisé Atlas à Maubeuge depuis 1988. J’ai commencé ma carrière dans la mécanique. Ensuite, je suis parti dans la vente automobile, j’ai suivi une formation et je suis reparti sur le meuble en 1987 pour intégrer Atlas en 1988. Et j’y suis depuis en tant que gérant.
Au fil du temps je suis devenu responsable de rayon, puis directeur de magasin et en 2001, il a fallu prendre une décision, reprendre le magasin ou faire autre chose. J’ai décidé de reprendre le magasin en tant que gérant et non en tant que salarié. Le gérant prenait sa retraite, il fallait choisir entre continuer l’aventure ou prendre une autre voie.
Il faut aimer prendre des risques. Après, c’est sûr qu’on peut choisir de rester salarié mais moi, j’aime les challenges et j’aime prendre des risques puisque nous étions une maison connue sur Maubeuge. Une maison créée à l’origine en 1949. S’il n’y avait pas cette décision qu’est ce qu’allait devenir les salariés – 15 à l’époque – c’était donc un challenge intéressant il faut le dire, et puis qui a réussi puisque nous sommes toujours là !
En avançant dans l’aventure je me suis dit que finalement pourquoi pas et que je pouvais éventuellement saisir ma chance puisqu’au départ je n’avais pas de moyens financiers. Pour reprendre une entreprise il faut avoir les moyens, il faut se préparer, mais moi je n’étais pas prêt financièrement ni psychologiquement d’ailleurs ! Donc c’était un défi très intéressent.
Ce qui m’a le plus plu c’est que vous avez toute une logistique qui vous aide. Le temps que vous avez vous le passez sur votre point de vente à faire du commerce et non pas à faire de l’administratif ou de la recherche produits. Il y a deux choses : vous vous contentez d’être commerçant, vous faites bien votre travail, vous appliquez un concept, vous vendez et vous utilisez les outils qu’on vous donne ou alors vous vous diversifiez, vous faites à la fois l’achat et la gestion administrative.
La franchise vous apporte tout ! Vous avez un pôle gestion administrative, un pôle service achats, du marketing, de la publicité. Si vous devez gérer vous-même la partie publicité, faire les dépliants, créer les jingles radios…vous ne pourrez plus être commerçant, c’est un métier complètement différent qu’il faut connaître. Il faut avoir de l’expérience pour pouvoir le faire.
Je préfère faire uniquement du commerce et avoir une logistique à portée. J’avais connu l’autre côté du commerce non-franchisé où vous êtes obligé de vous occuper de tout et ce n’est pas du tout pareil. La franchise Atlas vous apporte tout cela, elle vous libère et vous soulage de toutes ces contraintes. Nous ne sommes pas seuls, nous avons toujours un interlocuteur à qui s’adresser en cas de problème – financier, de commerce, de marketing, de publicité – vous avez des services entiers que vous pouvez contacter à tout moment et avoir une réponse rapide. C’est un gros soulagement !
Les premiers contacts avec le franchiseur étaient bons puisque je le connaissais déjà à l’époque où j’étais salarié. Il était développeur et il s’occupait de notre magasin. Après, il a permis à ce que la cession du magasin se passe correctement. Il m’a apporté les outils nécessaires notamment des outils financiers pour faire un business plan. En fait il a préparé avec moi la passation de pouvoir et heureusement qu’il a été là puisqu’il a participé directement à la transaction du point de vente.
Au fil du temps, ce qui est intéressant avec cette franchise, c’est qu’il y a un pôle formation. Tous les ans, mes collaborateurs et moi, pouvons suivre des cycles de formation pour être toujours à jour. J’ai d’ailleurs suivi un stage de management – conçu pour le réseau Atlas – qui m’a bien servi ».