Que faisiez vous avant et pourquoi avez vous choisi ce secteur d’activité ?
Philippe Noizier : Etant salarié en qualité de D.A.F., je cherchais une activité qui me permette de démarrer une entreprise de services spécialisée, sans avoir besoin de connaissances particulières, mais qui sorte de l’ordinaire par son originalité, sa spécificité.
Depuis quand êtes vous concessionnaire et Pourquoi avoir choisi Basic System® ?
PN : Les premiers contacts avec Basic System remontent à Septembre 1996, suite à un article paru dans la revue DEFIS. Après réflexions, études de faisabilité et divers contacts avec des partenaires du réseau déjà en activité, j’ai décidé en Novembre 1996 de prendre le secteur 51 (Marne). Mon critère de choix fut entre autre, le montant de l’investissement qui à l’époque était de moins de 80 KF, donc un risque financier minimisé en cas d’échec.
Parlez nous du marché et des techniques Basic System® ?
PN : A cette date BASIC SYSTEM® se positionnait uniquement sur le marché des moquettes . Cela m’a permis de fonctionner en 1997, seul, en plus de mon activité salariée et de grandir tranquillement. Mais à terme, il paraissait difficile de monter une PME de plusieurs salariés avec uniquement ce savoir faire. Le mérite de BASIC SYSTEM® est d’avoir su mettre en place d’autres concepts à la fois complémentaires et novateurs (marbre – terre cuite – parquet – thermo). Cela m’a permis en 1999 de développer le marché du marbre, en 2001 celui des parquets. Je compte bien en 2002 attaquer le marché des plafonds suspendus grâce au procédé CIEL SYSTEM®. Aujourd’hui, je ne travaille plus qu’à mi-temps comme salarié, et plus du tout à compter de Mars 2002, pour me consacrer entièrement à ma Société. Le développement de ces techniques originales et de qualité ouvre un marché très important pour celui qui le souhaite et qui y croit.
Êtes vous en contact régulier avec vos confrères Basic System® ?
PN : De par ma double activité je n’ai pas trop de temps et je le regrette, pour échanger des idées avec les autres partenaires du réseau, en revanche lors des séminaires organisés par le réseau je profite pleinement de la synergie et j’en profite pour faire partager mes références. A terme j’aimerais faire mieux. Mais aujourd’hui, avec 3 salariés à temps plein, j’ai plutôt la tête dans le guidon, que les oreilles sur le téléphone.
Comment votre activité a t’elle démarrée ?
PN : Comme je le dis ci-dessus, en 1997, je faisais un peu de moquettes le soir, les Samedi et Dimanche. En 1998, j’ai pris un salarié à temps partiel. En 1999, ce dernier travaillait à temps plein. En 2000, un autre nous a rejoint. En 2001, j’ai embauché un apprenti commercial, + 2 femmes de ménage pour répondre à la demande de mes clients. En résumé l’entreprise a démarrée tranquillement, faute de disponibilité de ma part, mais cela était mon choix (comme on dit a la Télé)
Comment ressentez vous le marché et quels sont vos projets d’avenir ?
PN : En 2002, si la marché des plafonds suspendus reflète les dires des partenaires qui le font déjà, je compte reprendre encore une ou deux personnes. De plus, de nombreux devis en rénovation de pierres marbrières initialisés cette année devraient se concrétiser en 2002, notamment à la Banque de France, Centre des Impôts, C.C.F., Bibliothèque Municipale, Hôtel Mercure, et d’autres moins importants.
Quels conseils donneriez vous à un futur candidat Basic System® ?
PN : Croire aux produits, aux procédés (tout les partenaires lui confirmeront !..) Avoir la « NIAC » pour réussir, faire beaucoup de commercial, S’appuyer sur la tête de réseau Basic System® + les partenaires. Faire une croix sur les 35 heures. Le reste suivra forcément !..