Pascale Frauel, franchisée du réseau dietplus à Saverne (Bas-Rhin), fait partie du « G4 » 2021. Elle a eu la responsabilité, avec 3 de ses collègues, de valider les demandes émises par l’ensemble du réseau, qui seront ensuite examinées par le « G22 ». Elle est revenue sur le déroulement de l’évènement et le rôle clé du processus collaboratif de l’enseigne.
Témoignage de Pascale Frauel
Pascale Frauel a expliqué que, lors du G4, les propositions ont été lues et analysées point par point et prises en commun après discussion dans une ambiance chaleureuse.
Les membres du G4 ont la légitimité nécessaire pour accepter ou refuser une demande grâce à leur expérience du métier, car les décisions sont à prendre en fonction des besoins des clients et des résultats de leurs pertes de poids.
Durant l’assemblée, Pascale Frauel a expliqué que certaines idées ont été refusées, notamment concernant de nouveaux produits dans les gammes Active et Vitality, qui n’étaient visiblement pas possibles pour des raisons d’allégations européennes, d’achalandage et de coûts.
Pour ce qui est de l’implication des coachs dans les décisions stratégiques de l’entreprise, la franchisée explique :
« C’est une excellente idée car ils sont sur le terrain. De par leur savoir-être et leur savoir-faire vis-à-vis du client, ainsi que leurs résultats, ils peuvent apporter et développer de bonnes idées à l’entreprise. Je suis fière d’avoir participé à des décisions stratégiques qui déterminent l’orientation générale de dietplus et s’inscrivent à long terme ».
Pour Pascale Frauel, c’est une responsabilité que d’avoir à valider ces propositions :
« parce-que nous validons au nom de tout le réseau… et tout le monde ne peut être satisfait, nous le savons bien ».
Enfin, concernant la difficulté de la décision, la franchisée explique :
« c’est facile de décider du moment où l’on est sûr de ne pas se tromper dans son choix, mais parfois, ce n’est pas toujours acquis. A moins d’avoir une boule de cristal, il est difficile de savoir si la décision que l’on va prendre sera vraiment la bonne. C’est donc à nous de faire en sorte qu’une fois la décision prise, celle-ci apporte les résultats souhaités ».