L’enseigne L’Onglerie, spécialiste de la beauté des mains et des ongles, souhaite poursuivre le développement de son réseau en franchise.
Grâce à la franchise participative, Maëliss Trajean, 26 ans, a pu ouvrir son premier institut L’Onglerie à Bordeaux Caudéran.
Maëliss Trajean en terrain conquis
Maëliss Trajean a toujours rêvé de se mettre à son propre compte. CAP esthétique en poche, elle quitte la région parisienne pour s’installer à Bordeaux chez un membre de sa famille. La jeune femme a beaucoup travaillé dans des instituts de beauté généralistes mais n’appréciait pas vraiment l’aspect presque machinal du travail à la chaîne :«Nous ne pouvions pas instaurer une réelle relation avec nos clientes» regrette-elle.
En terrain familier à Bordeaux, Maëliss part à la recherche d’une nouvelle aventure. Elle avait pour objectif d’intégrer un réseau de manucure. Elle a dont tout simplement postulé auprès de la franchise L’Onglerie dont la candidature a été retenue sans encombres.
« L’Onglerie qui souhaitait m’embaucher m’a encouragée à suivre une formation qui délivre la certification professionnelle Responsable de centre de mise en beauté des mains et des pieds dispensée par le centre de formation L’Onglerie à Bordeaux », se souvient Maëliss. A l’issue de 9 semaines de formation assurée par Pôle Emploi, la jeune femme rejoint en CDI l’institut pilote de L’Onglerie Bordeaux Bonnac.
Le temps passant, Maëliss devient maman. L’envie de se lancer en tant qu’indépendante la presse. « Je pensais à l’époque devenir ma propre patronne sous un statut d’auto-entrepreneur pour proposer mes services de prothésiste ongulaire à domicile. »
La franchise participative : une aubaine
Sachant les difficultés inhérentes à ce mode de commerce, son employeur l’avertit avant de lui proposer de se lancer en franchise participative, Maëliss ne disposant pas des fonds nécessaires pour ouvrir sa propre franchise. C’est une aubaine pour la jeune femme.
« J’ai été accompagnée, soutenue & épaulée à chaque étape: géostratégique, administrative, juridique, économique évidemment, mais aussi pour la déco, la communication, la création de mes réseaux sociaux, de ma fiche Google, de la prise de rendez-vous en ligne ».
Aujourd’hui, Maëliss se dit satisfaite de son choix. Son magasin a ouvert le 20 décembre dernier.