Christian Bonnet : « Gold Service est un vieux concept mais nouveau sous sa forme et sous la manière dont nous l’exploitons. Nous avons des magasins, des boutiques et des agences où les gens viennent nous vendre leurs vieux bijoux. Ils viennent simplement dans nos agences vendre leur vieil or et puis nous les payons cash directement.
Le réseau est né en 2008, s’est développé en un an et demi avec 7 agences. Tout nous différencie de la concurrence parce que nous sommes les premiers en Suisse et parmi les pionniers en France à faire ce métier d’acheteur d’or de manière professionnelle, sérieuse, sécurisée et éthique.
C’est un concept qui se développe dans les petites villes. En Suisse, la plus petite ville dans laquelle nous sommes présents c’est Delémont qui est une ville de 12 000 habitants. Maintenant sur une ville comme Genève, nous pouvons aller jusqu’à quatre agences. Quant à la superficie du local, nous avons besoin de 30 m² c’est suffisant et c’est le grand avantage de ce business.
En termes de formation, je dirais que le métier en soi est très simple par contre après, il y a beaucoup d’expériences dans les métaux précieux, il y a beaucoup de placage, différents alliages, on peut vite se tromper donc l’expérience que nous avons acquise est un grand avantage. Et nous transmettons notre expérience en quelques jours à nos franchisés.
Nous proposons également énormément de prestations qui ne sont pas obligatoires. Le franchisé peut choisir de ne pas bénéficier de ces services. Nous mettons un architecte à disposition pour l’aménagement des locaux, et c’est au franchisé de décider s’il veut en bénéficier ou faire du bricolage par lui-même. Mais tout est à disposition de A à Z, en option, c’est donc vraiment le franchisé qui choisit les modules de formation.
Nous lui proposons l’accompagnement auprès des banques, la démarche pour la recherche des locaux, l’accompagnement dans les travaux, nous avons plusieurs formations mais toujours en option pour le franchisé.
Nous recherchons des franchisés, des partenaires qui soient des investisseurs entrepreneurs. Nous ne recherchons pas des franchisés qui veulent être derrière un comptoir à regarder l’heure tous les jours mais plutôt des chefs d’entreprise qui gèrent une entité. Ils sont plutôt dans le back office ».