Carole Nouvion-Houssin a rejoint la franchise Mondial Tissus il y a 4 ans en ouvrant son 1er magasin à Pépin, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Elle a récemment lancé son second point de vente, cette fois-ci à Gap. Interviewée par Franchise Magazine, la multi-franchisée relate son parcours.
Une aventure humaine avant tout !
Détentrice d’un bac pro comptabilité, Carole Nouvion-Houssin a fait évoluer son diplôme vers le social en devenant responsable des ressources humaines dans l’entreprise dans laquelle elle était. Après avoir exercé ce métier pendant 7/8 ans, elle a eu envie de changer de vie et est donc devenue commerçante.
« J’ai eu un bar tabac pendant 17 ans avec mon conjoint, puis, au bout de 17 ans, j’avais envie d’être franchisée, j’avais envie de monter un magasin, de monter une équipe. C’est ce genre de challenge qui me plaisait. Je me suis rendue plusieurs fois au Salon de la franchise, j’avais fait plusieurs abonnements pour voir ce qui se faisait. Un jour, j’ai vu Mondial Tissus Franchise et là je me suis dit voilà, c’est ce que je veux faire. De là est parti le parcours du futur franchisé. Et voilà, aujourd’hui, j’ouvre le deuxième magasin », relate la multi-franchisée.
Carole Nouvion-Houssin a fait le choix de rejoindre la franchise Mondial Tissus car elle est issue d’une famille de couturière et a toujours aimé ce milieu. De plus, lorsqu’elle a contacté l’équipe franchise, elle a été séduite par « l’approche, l’accompagnement, le discours, l’esprit d’équipe, les nombreuses valeurs » auxquelles elle tient.
La franchisée a été accompagnée pour le montage, l’étude de marché, la faisabilité du projet, la compatibilité, l’étude des stocks…
« C’est vraiment une très jolie aventure chez Mondial Tissus, très humaine avant tout. Chaque personne compte… Moi je suis très en accord avec cela, c’est à dire qu’il faut partager les mêmes valeurs pour pouvoir travailler ensemble ».
Un métier exigeant des valeurs humaines
Aujourd’hui, Carole Nouvion-Houssin est donc aux commandes de son magasin à Pépin, de 600 m² et employant 5 personnes, et celui de Gap, de 400 m² et employant également 5 personnes. Etant donné qu’elle en est à son 1er mois d’activité pour le second magasin, l’organisation est encore un peu fragile. Son temps est partagé entre les 2 points de vente mais elle passe cependant actuellement plus de temps à Gap pour mettre tout en route. L’unité de Pépin, ayant 4 ans, est stable avec une équipe qui n’est pas débutante.
Pour le lancement d’un magasin Mondial Tissus, la franchisée a dû investir, tout confondu, stock compris, 400 000 euros. En ce qui concerne les qualités indispensables pour devenir franchisé Mondial Tissus, Carole Nouvion-Houssin est persuadée qu’il faut avoir des valeurs humaines.
« Il faut avoir des valeurs humaines, il faut avoir envie de partager, il faut avoir le sens du commerce et des relations, et il faut vraiment avoir envie de donner je crois, parce que c’est un métier où on fait que ça, on donne toute la journée, que ce soit des conseils, de l’apprentissage de la couture ou le partage pour équiper les maisons… Ensuite, bien sûr, il faut être gestionnaire parce que c’est beaucoup de stock, le stock est compliqué à gérer et à compter ».
La multi-franchisée conseillerait à ceux qui hésiteraient encore à se lancer en franchise dans cette activité qu’il ne faut pas avoir peur, du moment que l’étude de marché est favorable et que Mondial Tissus est d’accord.
« Mondial Tissus s’offre le luxe de dire non. Donc si tous les indicateurs sont bons, il ne faut pas hésiter. C’est une superbe aventure ! ».
A ses débuts de franchisée, Carole Nouvion-Houssin était heureuse d’avoir réalisé son rêve de lancer sa propre entreprise et d’avoir une équipe à ses côtés et ne pensait pas se lancer dans un second projet. Cependant, au bout de 4 ans d’activité, elle a eu l’impression de stagner car elle était à l’aise, avait plein de connaissances et avait beaucoup évolué.
« C’était un peu la suite logique pour moi. Pour tout dire, j’ai 51 ans et je me disais si je dois encore évoluer c’est maintenant, si j’attends trop peut être que je n’aurais plus envie ou plus la force. Et je trouvais donc que c’était vraiment le moment. Au début je n’étais pas dans l’esprit de l’investisseur, j’avais vraiment l’idée de développer. Et développer, à mon sens, veut dire ouvrir un deuxième magasin », conclut la multi-franchisée Mondial Tissus.
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