AC Franchise : M. Blondel bonjour, pouvez-vous me présenter les deux concepts que vous avez développés ?
Alain Blondel : « Le premier concept c’est Réponse Lit, c’est un concept de spécialiste de literie. C’est tout l’univers du spécialiste literie dans lequel nous sommes présents sur toutes les gammes de prix, puisque le premier prix d’un matelas au couchage deux personnes fait 100 euros, le haut de gamme fait 4 500 euros.
Au sein de ce concept, nous traitons toutes les grandes marques françaises en literie et nous avons également notre marque produit distributeur. Ce qu’il faut noter et ce qui est important à mes yeux, c’est que 95 % de nos achats sont effectués en France y compris notre marque distributeur.
Autour de cela, nous traitons tout l’univers de la décoration de la chambre à coucher puisque nous faisons toute la décoration autour du lit et dans la chambre à coucher. Chez Réponse Lit, nous trouvons aussi des produits accessoires – oreillers, couettes, traversins – Pour cette première enseigne, nous nous arrêterons à l’ouverture de quelques boutiques.
A côté de cela, j’ai créé une deuxième enseigne qui est tout à fait complémentaire qui s’appelle La Boutique Nuit. Nous vendons du linge de maison dans des surfaces de 30 à 80 m², le concept convient parfaitement à des boutiques en centre-ville ou dans des galeries marchandes. C’est donc tout l’univers du linge de maison de nos mères et de nos grands-mères.
Dans ces boutiques, nous trouvons toutes les grandes marques, toutes les licences, des produits de puériculture, les éponges, les draps et les articles de décoration également. Cela correspond plus à l’univers de la femme et de la décoration aussi.
Ce qu’il faut savoir, c’est que ces deux marques peuvent être traitées soit séparément soit sous un même toit sous lequel nous mettons Réponse lit d’un côté et La Boutique Nuit de l’autre. Dans ce cas, nous pouvons aller sur des surfaces de 50 à 80 m² pour La Boutique Nuit et de 250 à 600 m² pour Réponse Lit.
ACF : Quels types de franchisés recherchez-vous ?
AB : « Nous recherchons des gens qui ont la fibre du commerce, qui savent communiquer, qui savent sourire, accueillir, qui ont une base de commerce et de contact. Nous les formons – bien entendu – au concept, à la gestion. Il y a des gens qui ont envie d’avoir des contacts avec les futurs clients, qui ont une surface financière variable selon le type du point de vente, par la suite, nous les formons au concept et à la vente ».