La carrosserie d’une voiture transporte en moyenne 240g de polluants (hydrocarbure, résidus, d’huile, de pneus, plaquettes de freins …) chargés de métaux lourds qui se déversent dans les nappes phréatiques.
Face à cette forme de pollution massive, Eléphant Bleu, enseigne de lavage automobile et acteur engagé dans la dépollution qui opère dans le plus grand respect de la source en eau, poursuit sa démarche globale de protection de l’environnement et de préservation des ressources.
Un circuit étudié
Le concept Eléphant Bleu est reconnu pour son système haute pression qui consomme 50 à 60 litres d’eau (soit l’équivalent d’une douche), ses portiques qui consomment 150 à 300 litres d’eau ainsi que son tunnel doté d’un système de recyclage des eaux usées.
Ainsi, avant de rejoindre les stations d’épuration, les eaux résiduelles du lavage sont prétraitées afin de séparer les substances polluantes qui seront ensuite collectées pour être détruite ou revalorisées comme combustibles.
Action de sensibilisation
Le 22 mars se tenait la journée internationale de l’eau. Eléphant Bleu a souhaité profiter de l’événement pour sensibiliser les automobilistes à travers une action média visant à leur faire prendre de la pollution massive tout en faisant valoir le lavage automobile professionnel comme un acte d’éco consommation. La campagne est parue dans Paris Match et le journal du Dimanche.
Notre objectif est de sensibiliser l’opinion publique sur l’empreinte environnementale du non lavage de la voiture sur les sols et les eaux souterraines, réservoirs de 80% de l’eau potable. L’enjeu est d’initier une autre vision des centres de lavage en faisant valoir leur fonction de dépollution de la mobilité et de préservation des nappes phréatiques », explique Solen Ecklé, Responsable Marketing du groupe Eléphant Bleu.
Un partenariat de choc
Eléphant Bleu confirme ses engagements et défend ses valeurs d’enseigne préservatrice des océans en devenant partenaire du skipper Fabrice Amedeo et en l’accompagnant dans son projet sportif et environnemental. En effet, le monocoque du navigateur est équipé d’un capteur océanographique qui relève des données significatives relatives à l’eau lors de ses traversées.