La licence de marque de la Caverne des Particuliers est d’abord une méthode de collaboration qui se veut équitable entre le concédant et ses licenciés : Le premier met à disposition des seconds une marque, un savoir-faire et les moyens conjugués d’un réseau nécessaires à leur développement.
Pourquoi une licence de marque selon le concédant ?
La Caverne des Particuliers explique que la licence de marque est une formule de franchise souple et allégée qui fait de vous un entrepreneur indépendant et responsable. « Vous êtes chez vous, vous évaluez vos besoins d’assistance à la carte, vous ne payez que ce que vous consommez. Évolutive, notre formule permet à chacun de se développer au sein du réseau en fonction de sa personnalité et de son environnement régional. »
Pourquoi rejoindre cette Enseigne selon La Caverne du Particulier ?
* « Pour acquérir un savoir-faire spécifique tout en préservant son indépendance
* Pour disposer au démarrage d’un acquis assurant rapidement des résultats.
* Pour s’associer à une équipe qui maîtrise parfaitement la formation, la gestion des marchandises, l’animation des ventes et l’ensemble des techniques de communication opérationnelle tant sur le plan interne qu’externe.
* Pour bénéficier de l’image de marque et de la notoriété d’une enseigne reconnue.
* Pour intégrer un groupe dynamique en constante réflexion sur son marché, qui partage le fruit de ses recherches avec chaque membre de la chaîne dans le but d’optimiser l’efficacité de sa formule.
* Pour participer aux actions communes décidées par des groupes de travail volontaires composés de responsables de magasins ( mission communication & publicité, mission informatique
) et ainsi contribuer directement aux orientations et aux décisions stratégiques de la chaîne. «
Notre conclusion est que ce qui est important, c’est bien plus la façon dont la promesse est tenue que la promesse en elle-même. Il suffit donc aux candidats d’aller à la rencontre des adhérents pour voir comment ce mode de fonctionnement se traduit concrètement sur le terrain.
Jean Dezitter