Répar’stores vient d’accueillir six nouveaux franchisés aux profils diversifiés, illustrant la capacité du modèle franchisé à séduire bien au-delà des professionnels du bâtiment. Du technicien automobile au responsable de production pharmaceutique, en passant par le conducteur d’engins de travaux publics, ces nouveaux entrepreneurs partagent une ambition commune : bâtir leur propre entreprise tout en bénéficiant de l’infrastructure d’un réseau établi. Cette vague de recrutements porte à plus de 300 le nombre d’agences du leader français de la réparation toutes marques. Au-delà des chiffres, ces intégrations révèlent une tendance de fond : la franchise comme solution privilégiée pour entreprendre sans partir de zéro, particulièrement dans un secteur technique en pleine croissance.

Des horizons professionnels variés convergent vers la franchise
L’analyse des parcours des six nouveaux franchisés Répar’stores dévoile une réalité encourageante pour les candidats à la franchise : aucun profil type n’existe, seule compte la motivation entrepreneuriale.
À 25 ans, Lucas Orel, titulaire d’un bac professionnel en conduite d’entreprises maritimes, représente la jeune génération qui n’hésite plus à se lancer rapidement dans l’entrepreneuriat.
À l’opposé du spectre, Damien Lievre, 42 ans, capitalise sur vingt années passées dans le secteur automobile à Loos et Seclin pour opérer sa transition.
Entre ces deux extrêmes, Sébastien Mestre illustre parfaitement la reconversion réussie : après quinze ans comme pilote puis responsable de production dans les secteurs pharmaceutique et agroalimentaire à Clermont-Ferrand Nord, il témoigne avoir ressenti un déclic lorsque ses fonctions l’ont éloigné du terrain.
Cette diversité démontre que les compétences transversales – rigueur technique, sens du service, capacité d’organisation – importent davantage que l’expérience sectorielle préalable.
La dimension familiale joue également un rôle déterminant, comme en témoignent Romain Barromes à Béziers, qui reprend l’entreprise paternelle créée en 2010, et Sacha Diot, qui s’inspire de son père franchisé depuis 2018 pour développer son activité à Romans-sur-Isère et Tournon-sur-Rhône.
Un modèle qui sécurise les transitions professionnelles
L’accompagnement structuré apparaît comme le dénominateur commun des témoignages recueillis, révélant ce qui motive réellement les candidats à choisir la franchise plutôt que la création indépendante.
Thibaud Chevallier, qui s’installe à Sélestat et Obernai après une carrière de chargé d’affaires dans le bâtiment, résume cette logique : créer son entreprise avec le réseau Répar’stores permet de s’appuyer sur vingt ans d’expérience du franchiseur dans l’accompagnement.
Cette sécurisation prend des formes concrètes que souligne Lucas Orel : des outils techniques et informatiques qui apportent du confort au technicien sans négliger les perspectives d’évolution.
Pour Sacha Diot, ancien conducteur d’engins, cet accompagnement permet de se concentrer exclusivement sur la dimension technique du métier, garantissant réactivité et efficacité.
La puissance du réseau, évoquée par Romain Barromes, constitue un autre facteur rassurant : l’esprit de famille et la confiance accordée aux franchisés créent un environnement propice au développement.
Cette combinaison entre autonomie entrepreneuriale et sécurité d’un réseau établi répond précisément aux attentes des candidats à la franchise, qui recherchent le meilleur des deux mondes : la liberté d’entreprendre sans la solitude du créateur isolé.