La franchise La Barbe de Papa est un concept unique et exclusivement masculin, qui met l’accent sur le bien-être des hommes. Elle prévoit l’ouverture de 15 nouveaux magasins par an dans les années à venir, dont 95 % sous forme de franchise.
Une ambiance rappelant les salons d’autrefois
La franchise La Barbe de Papa est un réseau de salons de beauté qui compte plus de 100 établissements répartis dans toute la France.
Dès qu’un client franchit les portes d’un salon La Barbe de Papa, il est immédiatement plongé dans une atmosphère masculine unique où le bois et le cuir se mêlent pour offrir une ambiance chaleureuse rappelant les salons d’autrefois.
« Nous avons créé une marque avec une identité forte et unique, et en la reproduisant, les clients pourront retrouver la même expérience et les mêmes sensations dans tous les salons », déclare Alexandre Le Hen, fondateur La Barbe de Papa.
Devenir franchisé la Barbe de Papa
Pour devenir franchisé La Barbe de Papa, il faut prévoir un investissement de 120 000 euros, un droit d’entrée de 8 500 euros et un apport personnel de 30 000 euros.
Le franchisé peut espérer atteindre 300 000 euros de chiffre d’affaires après seulement 2 ans d’activité, affirme l’enseigne.
Par la suite, une formation initiale est mise à disposition des futurs franchisés. Le réseau leur offre également une assistance pour les aider à faire réussir leur projet.
Cet accompagnement comprend :
- des conseils pour la gestion des stocks
- des stratégies marketing efficaces
- des formations régulières
- des outils de gestion de la relation client
- et des systèmes informatiques avancés
Audrey Diraison, animatrice du réseau La Barbe de Papa :
« Entreprise à fort potentiel, elle compte plus d’une centaine de salons en France implantés dans des lieux attractifs. Elle offre un concept revisité et modernisé, un savoir-faire français et une qualité de produits utilisés exceptionnelle. C’est un plaisir d’accompagner chaque collaborateur, responsable de salon ou franchisé tout au long du process d’ouverture de salon et de développement du métier », a-t-elle confié.