Sylvain Ramel : « Il s’agit d’un concept qui est né aux USA et au Canada où des négociateurs ont compris l’intérêt de se regrouper pour pouvoir mutualiser les coûts de communication et les frais de structure. Donc aujourd’hui, Capifrance est un concept qui permet à des commerciaux de pouvoir vendre des biens via internet avec un système de portail, puisque Capi a plusieurs portails dédiés. Cela permet à nos clients d’avoir une diffusion complète de leurs biens sur l’ensemble de la toile. En plus, c’est une prestation qui ne leur coûte rien puisque nous ne sommes payés que sur nos résultats.
Notre métier est simple, il consiste à prendre des contacts téléphoniques ou par relationnel avec des gens, qui sont des vendeurs qui souhaitent vendre leur bien par une méthode différente de ce qui est en place aujourd’hui, c’est-à-dire l’immobilier traditionnel. Notre système de fonctionnement nous permet vis-à-vis de ces clients, de leur apporter une approche différente dans le sens ou nous avons une approche essentiellement par internet puisque notre base de communication est axée sur internet et ça permet de diffuser largement les biens sur un grand nombre de sites liés à l’immobilier au niveau national et international.
Nous sommes tous des agents indépendants régis par le siège bien évidemment, mais nous sommes les seuls interlocuteurs de nos clients, donc le client est assez content d’avoir quelqu’un qui s’occupe particulièrement de lui et uniquement cette personne. Cela permet de bien suivre les dossiers, et le client est très satisfait de ce mode de fonctionnement. Il faut savoir qu’il y a 50 % des personnes qui rejoignent notre réseau qui ne sont pas forcément des professionnels de l’immobilier. CAPI a créé un pôle de formation qui permet aujourd’hui de former les nouveaux commerciaux, qui arrivent d’horizons différents, au métier de l’immobilier.
Il est très important aujourd’hui de savoir de quoi on parle quand on est face à un client, et Capifrance nous assure des formations tout au long de l’année au siège pour les formations d’intégration qui se fassent obligatoirement au siège, à côté de Montpellier. Mais également des formations qui se déroulent plus en Province, c’est à dire qu’aujourd’hui nous avons des formations sur Lille, Bordeaux, Marseille, etc. pour éviter aux gens de faire des déplacements, on se rapproche d’eux, on envoie les formateurs sur le terrain pour former ces nouveaux commerciaux.
En définitif, pas besoin d’avoir un local, pas besoin d’un investissement particulier puisque aujourd’hui, tout un chacun possède un ordinateur. Nous avons besoin de très peu d’investissement, la seule chose à retenir c’est de prévoir une trésorerie car c’est un métier où l’on va travailler aujourd’hui pour être rémunéré demain, c’est donc très important d’avoir une trésorerie suffisante pour démarrer sereinement dans ce concept. »