Elodie BESNARD est franchisée Green is better depuis octobre 2011 à Sophia Antipolis, accompagnée de son associé Gregory CHATAIGNER. Après un BTS Assistante de gestion, Elodie BESNARD a eu plusieurs expériences professionnelles, dans différents secteurs d’activité: banque, automobile, restauration. Quant à Grégory CHATAIGNER, il a davantage un profil commercial, ce qui permet une complémentarité entre eux. Les deux investisseurs souhaitaient devenir chefs d’entreprise et ont décidé de s’intéresser à la franchise pour être encadrés et accompagnés.
Comment s’est déroulé votre projet de création ?
Élodie BESNARD : « Nous nous sommes d’abord renseignés sur plusieurs enseignes du secteur avant de nous décider sur la franchise Green is better. Nous voulions être certains de notre choix, et sûrs que le concept nous correspondait réellement. Avant de prendre contact avec le franchiseur, nous sommes allés à la rencontre d’un franchisé du réseau, qui nous a confortés dans mon choix. Nous avons ensuite contacté l’enseigne en demandant une documentation sur internet. Puis nous avons été invités à participer à une réunion d’informations au siège de l’enseigne. Après cette réunion, nous avons réservé la zone géographique; Sophia Antipolis. Nous avons rapidement cherché un local avec une agence immobilière de la région. Le local a été validé par le franchiseur. »
Quels sont les éléments qui vous ont séduits ?
» Nous avons tout de suite adhéré au concept, nous sommes convaincus que le marché des bars à salades a de l’avenir. Un des grands avantages de la franchise Green is better est la qualité de vie. En effet, même en tant que chef d’entreprise, nous pouvons garder une vraie vie privée. »
Avez-vous été aidés dans le recherche du financement ?
« Oui, la franchise Green is better nous a aidés à constituer un dossier solide, notamment grâce à un classeur contenant tous les éléments dont a besoin la banque au moment du rendez-vous. L’objectif est d’obtenir un financement. Un dossier complet et solide rassure les banques. Le franchiseur nous a transmis l’état du marché local (nombre d’habitants, nombre d’entreprises, infrastructures…). Il nous a également fourni une trame indiquant les informations à trouver pour constituer l’étude de marché. L’enseigne nous a aussi donné le bilan de différents restaurants existants, pour se faire une idée de l’activité. »
Quelles difficultés rencontrez-vous et comment êtes-vous aidés par le réseau ?
« La principale difficulté pour nous, en tant que novices dans le métier, est la gestion des fournisseurs et des dépenses. Dans le but de préserver la marge, une centrale de référencement a été créée communément par le franchiseur et les franchisés déjà existants. Cela nous permet d’obtenir des tarifs préférentiels sur les produits que nous utilisons le plus. En plus, il n’y a pas de cotisation pour y adhérer. Depuis l’ouverture, l’enseigne est très présente, elle nous fait part des nouveaux produits, des nouvelles formules… L’équipe est complète et polyvalente, elle répond à nos questions au quotidien ».
Quels conseils pouvez-vous donner aux futurs franchisés et créateurs d’entreprise ?
« De manière générale, pour créer son entreprise, il faut être optimiste et très motivé. On rencontre forcément des moments de doute, des mauvaises nouvelles, mais il ne faut pas se décourager et en profiter pour rebondir. Je pense aussi qu’il faut prendre le temps de la réflexion, et se donner les moyens de la réussite. »