Paris, 15 octobre 2012 Avec la hausse des prix de l’immobilier, la fin du PTZ et le durcissement des conditions d’octroi de crédit, l’accès à la propriété est de plus en plus complexe pour les Français. Suite au succès d’une opération estivale destinée à donner un ‘coup de pouce’ au premier achat, le réseau Guy Hoquet l’Immobilier relève le besoin accru de solutions de financement pour permettre aux primo-accédants de concrétiser leur projet.
Durant les trois mois d’été, Guy Hoquet l’Immobilier a proposé aux primo-accédants un prêt à taux bonifié à 0,75% en partenariat avec un spécialiste du financement couplé à une offre d’assurances garantissant la revente ainsi que les équipements et installations. Un coup de pouce financier qui a suscité un vif intérêt chez les acquéreurs.
En effet, alors que le marché du crédit chute de 33,1%* sur le premier semestre 2012, le réseau a enregistré en août une hausse de 62,6% des demandes de crédit avec son partenaire bancaire par rapport à 2011.
De même, tandis que les transactions étaient en nette baisse, comme le révélaient les syndicats professionnels, avec une diminution de 18% en août, le réseau a enregistré une hausse de son activité de 3,3% sur la même période.
« Sur ce mois habituellement calme, ces chiffres d’activité inédits montrent que des solutions concrètes ont des effets levier sur l’acte d’achat. Les hausses successives du marché dues aux modifications de la législation fin 2011 – lors de l’annonce de la fin du PTZ+ et lors des changements sur la fiscalité des plus-values – l’avaient par ailleurs déjà démontré : les Français attendent, dans le contexte actuel, des offres de financement de leur projet de la part des acteurs du marché », commente Frédéric Monssu, Directeur Général du réseau.
« Il est urgent de remédier aux conditions très difficiles d’accès à la propriété pour les primo-accédants. Aujourd’hui, nous observons un phénomène de financement intergénérationnel grâce à l’épargne des parents, voire des grands-parents, qui tient lieu d’apport personnel. Une entraide qui est loin d’être légion : c’est pourquoi il est nécessaire de soutenir ceux qui n’ont pas cette possibilité, à l’image de notre offre estivale de prêt à taux zéro sur une partie du montant de l’achat immobilier», conclut Frédéric Monssu, qui rappelle que les primo-accédants représentent quasiment un acheteur sur deux.
* Source Etude Crédit Logement, août 2012